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A BAYE OUSMANE DIENG: Tu es en vérité un grade que Tes maîtres portent, leur secret caché, Toi qui a porté un masque corporel pour tromper, la bonté que personne ne peut sonder, Toi l’homme qui communique avec les esprits qui s’est nourri du lait des  » DEM » ( Par le poète de la Fayda El Hadji Abdoulaye fam )

A BAYE OUSMANE DIENG

 Tu es en vérité un grade que Tes maîtres portent, leur secret caché, Toi qui a porté un masque corporel pour tromper, la bonté que personne ne peut sonder, Toi l’homme qui communique avec les esprits qui s’est nourri du lait des  » DEM » ( Par le poète de la Fayda El Hadji Abdoulaye fam )

Par la volonté du Seigneur, qui T’a élevé à tous les égards, je Te complimente
À cette faveur qui sied merveilleusement à Ta noble mesure et je m’y alimente
Car je sais que je ne pourrais plus progresser dans mon art poétique si mon âme
D’abord ne progresse pas et me voilà Dieng à l’écoute d’un espace plus intime

Toi, la douce lumière qui jaillit pour l’allégresse chantant en notre chemin de vie
Tu es auréolé de grâces, Toi le kaolackois à la parole qui comble des envies
Toi l’exemple dont la seule évocation suffit à celui qui a fait vœu de servir Barhama
L’honorable maitre, le symbole de la pure miséricorde infinie, je le jure par Allah

Tu es celui qui peut quand il veut mais qui tais son cœur et qui retient son bras
Tu es celui qui voyage plus loin que les étoiles depuis Ton siège de Médina Sara
Toi qui enseigne la voie de la pure sagesse aux plus tendres âmes et tendres âges.
Ton père a mis dans Ton cœur le pardon et la clémence, la patience et le partage

Toi, qui a laissé échapper Tes prières et les perles de Tes sublimes chapelets,
Pour les heureux novices qui se présentent aux portes de la parfaite félicité,
Tu incarnes l’humilité même du maitre parfait mais aussi la pureté immaculée
Tu es en vérité un grade que Tes maitres portent et Tu es leur secret caché …

Le village de Ndoudour à Kaolack est béni d’avoir vécu Ton premier cri
Toi le fils prodigieux de Cheikh Dieng et de Diouly Diagne, la femme bénie
Tu es le seul a résisté à la maladie qui a terrassé tous Tes chers frères de sang
Car Ta grande mère désespéré T’avais amené prêt de Barhama, ce soleil couchant

Le grand Houtbou qui de son crachat sur Ta tête T’avait prédit un éminent destin
Qui est devenu vérité inébranlable à chaque instant que Tu passes sur ce lieu divin
De là, le Maitre a déclenché le mystère qui sommeillait dans Ta noble poitrine
Toi qui sanctifie les labeurs qui connecte les esprits à la noble cité bénie de Médine

Car Ton nom est unité, Ta parole est vérité, Ton sourire est une pleine lune
Ta main est guérison, Ton esprit est sagesse, Tes gestes miséricordes et suprêmes.
De Ton Medina Sara Kaolack, Ton cœur déborde d’amour pour Baye Barham
Car Tu es une nature ouverte et Ton niveau de savoir dépasse de loin les efforts

Consentis, dans la recherche de la science, Toi le missionné sauveur au regard fort
Toi qui a porté un masque corporel pour tromper, Toi, l’incernable créature
Le Mouhadamdigne de ce patronyme qui brille d’une très divine splendeur
Béni soit Ton maitre Baye Dramé, qui a obéi à l’Exalté en esclave émérite,

Ce serviteur sans réserve de Thierno Al Hassane Dem, cet homme d’élite
La belle étoile brillante fièrement rayonnante et lumineusement étincelante
Tu es estimé, respecté, adulé, vénéré à Sara Kaolack, la vraie cité des pépites
Et je me suis dit que nul n’est prophète chez soi sauf Toi Cheikh Ousmane

Toi qui s’est nourri du lait des ‘’DEM’’, Toi qui incarne la sagesse musulmane
Toi qui est né un lundi du vingt décembre à l’aurore au mois de Muharram
O si seulement les mots pouvaient tout dire où tout exprime, honorable âme
Tu es maitre le pur vainqueur du mal, l’être incorruptible, l’esclave de Barham

Je bégaye Ton nom dans chacune de mes prières pour Te dire que je T’aime
Pour Te louer Cheikh Ousmane Dieng, je manque vraiment de souffle essentiel
Et je me sens trop fugace pour décrire fidèlement Ta mystérieuse lumière continuelle,
Qui s’est réincarnée sous plusieurs corps avant de se choir dans la finale mission

Les courants et les vents de Sara que je vois semer par les virtuoses de Ta dévotion
Ont déposé mes pensées sur Tes branches de perles accrochés sur Ta mission…
Tu es resté à Kaolack et Fass est venu à Toi, pour T’octroyer le grand Idiaza
Toi qui a éduqué et plongé dans l’océan de la lumière divine de la Faydatidianiya,

Des milliers d’âmes qui s’en sont sortis tous épurés, propres et immunisés
Toi l’homme qui communique avec les esprits qui sait voyager dans nos pensées,
Toi la bonté que personne ne peut sonder, la source vivante de toutes les grâces
Alors Laka Nihma, Tu es comblé, Toi le vrai guérisseur du corps et de la conscience

Le guide de la fédération Miftahoul Woussoul Ila Hadarati Rassoul Al Ousmaniyou
D’un fervent mouride, Tu es devenu l’un des plus grand Mouhadam du Faydou
Attestant les dires de Ton maitre Cheikh Mohammad Nazir, ce fils du Houtbou
’’ Tu ne le sais pas encore mais Tu es sans aucun doute un très grand Tidiane’’

Toi la lumière véhiculée par Baye Dramé, cet être à la bonté démesurée
Que Tes fibres gracieuses projettent le bonheur extase et apaise mon entité
Et accepte ce poème aux mots qui ne notifient qu’une fine partie de Ta vie louangée.

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIÈRE)

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