A CHEIKH EL HADJI IBRAHIM SERIGNE MBAYE: Tu as avancé tout droit vers la félicité. Ton Khalifat est miraculeux, Ton courage débordant.. Toi le secret de Cheikh Ibrahim qui a fait de Toi, un conducteur d’existence, Tu es en réalité la rigueur dans sa plus belle apparition…( Par le professeur El Hadji Abdoulaye Fam Ma plume une lumière)
CHEIKH AL HADJI IBRAHIMA SERIGNE MBAYE NIASS DIT BARHAM NIASS
Avec le Hitma, mon catalyseur d’énergie, je lutte pour un idéal dans le Faydou :
Servir et communiquer l’enseignement de Cheikh Ibrahima Niass jusqu’au bout,
Vulgariser les étoiles autour du soleil barhamien, les références de la référence
Faire jaillir les pierres sacrées, confinées dans les terres impénétrables grosses
Qui ouvre vers ce monde et je peux Te jurer, rien que pour ça, Maitre, je T’adore.
Moi ce pauvre mortel de la famille Fam, qui n’a certes à T’offrir, ni argent, ni or
Toi le deuxième fils de Cheikh Serigne Mbaye, après Mouhammad Niass…
Qui a été prémédité Khalifat par Ton père attesté par Cheikh Ibrahim Niass
De Ta naissance en mille neuf cent trente-cinq à Médine, la gracieuse localité
Et d’une mélodie pure, d’un pas aguerri et alerte, d’une voix puissante et posée,
Tu as avancé tout droit vers la félicité, ce passage que Tu as si bien esquissé
Sans bords ni détour à la cité de Keur Madiabel, Toi, El Hadji Barham Niass
Heureux alors mille fois et mille fois bénie l’heure où Tu brillas dans la masse
Et depuis le repos de Ton père en mille neuf cent soixante-treize, Tu fus élevé
Et Les rideaux de la bonne foi sont tirés attestant Ta nouvelle mission révélée
La terre de Tes aïeux a invoqué, au-delà de ses croyances, Ton illustre cachet
Qui est élevé par Tes hautes qualités que l’éternel temps ne saurait altérer
Tu es le fils béni de Saydatou Aïssatou Thiam, la reine immaculée et douce
La toute pure, la couronnée et gratifiée entre toutes les femmes de grâce
Toi le secret de Cheikh Ibrahima qui a fait de Toi un conducteur d’existence
Tu es en réalité la rigueur dans sa plus belle apparition, une mer de science,
Le vrai lion qui surgit et qui brava les ennemis avec de la lumière salutaire
Tu es une lampe allumée par Cheikh Ibrahim, ce mystère au fond des mystères
Ainsi, je viens déposer entre vos mains royales la rançon de beaucoup d’âmes
Ton khalifat est miraculeux, Ton courage débordant, Ta ponctualité suprême
Donc jetez sur moi un regard bienveillant en ces temps où l’impiété triomphe
Donc mettez dans mon émanation une pure clarté, Toi Barham, le vénéré Khalif
Toi, qui répands partout les trésors des miséricordes du ciel, O âme lumineuse
Tout de Toi flotte dans la lumière, Toi qui est doté d’une gloire mystérieuse…
Des mains du brave savant, Serigne Dame Badiane de la cité de Lamarame,
Tu débutas l’initiation du coran que Tu bouclas avec Ton père, O Barham
Toi, qui fait jaillir par la source de toute bonne grâce et qui guide l’espoir des âmes
Tes élocutions sont notre jonction à la source des vraies réalités vers le suprême
Dans les jardins de la Miséricorde, Tu fais défiler, par Ton encre hautement sacré,
Par Ta science infuse inégalée, par Ta sagesse d’une si extrême perfection innée,
Par Ton renom et par Ton sens élevé de gratitude du féal disciple que Tu demeures
Auprès de Mawlana Cheikh Ibrahima Niass, ce serviteur attitré du Seigneur,
Toi qui a tant œuvré sur les chantiers du coran et de l’islam tel un divin mandaté
Ô Maître, aide moi à poser mes pas dans le cœur dévoilé de l’exégèse de Ta sainteté
Pour marcher tout le long de Tes grandes avenues, avec Ton fils Cheikh Tidiane,
Ce brave homme, ce grand cœur mystérieux qui soutient l’arbre dans sa gaine
Scandant le nom de Ton maître en fidèle disciple du noble messager de Médine …
J’atteste par cette poésie que je serai de ceux-là qui iront à Ta rencontre sans sandales
M’accrochant et versant mes pas de missionnaire sur les terres de Keur Madiabel
Tu es le leadeur des disciples de Baye, le grand syndicaliste des agriculteurs
Héritier du Madjalis, de l’Imamat et de la zawiya de Ton père, le grand visionnaire
A Tes œuvres une mosquée, un poste de santé, une radio, un marché, une école
Un cimetière, une morgue… modernisant ainsi la localité d’espoir du grand pôle
Tu as sillonné le milieu des penseurs partout dans le monde, propageant le Fiqh
Toi, le véridique et dévoué Maitre, qui incarne le secret de Aboubacrine Sadikh,
Tu avances, Tu T’actives, et Tu ne Te soucies guère de la révolte des insoumis
Toi, le garant des faibles, des orphelins, des assoiffés en Allah et des démunis
Les vocables qui se bousculent dans ma mémoire sont si faibles en teneur
Pour décrire mes sentiments si forts, si puissants et voués à Ton égard
Je me perds dans mes formules, pour emprunter la voie qui mène à Ta noblesse
Et j’ai découvert des trésors en Toi Barham, en laissant s’agiter ma conscience
Avec Ton disciple Imam Ibrahima Thiam qui a tant de lumière dans son cœur
Que Dieu répande Ta grâce sur Tes enfants, frères, disciples dans leurs ferveurs …
Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIÈRE)