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A CHEIKH IBRAHIM MAHI CISSÉ : j’ai fait une exception bravant mes propres lois pour Te dedier ce noble poème et je ne dirai jamais pourquoi suivez- le vous saurez par la volonté de Barham… je vois venir Tes grades et je me prosterne devant leur grandeur malgré moi…Que Dieu Te preserve, T’honore davantage Te couronne et T’enracine dans la foi…( Par le professeur El Hadji Abdoulaye Fam )

J’ai fait une exception bravant mes propres lois pour Te dédier ce noble poème et je ne dirai jamais pourquoi suivez- le vous saurez par la volonté de Barham… je vois venir Tes grades et je me prosterne devant leur grandeur malgré moi…Que Dieu Te préserve, T’honnore davantage Te couronne et T’enraciné dans la foi…( Par le professeur El Hadji Abdoulaye Fam )

 

J’ai composé ce poème sous le coup d’un afflux d’inspiration venant de Dieu
Et je m’adresse aux âmes par mon âme pour chanter Ta gloire, Toi, être pieux
Je l’ai composé à partir de la mémoire frétillante d’un état d’extase
Et j’ai vu les Anges étendre leurs ailes par satisfaction de ce que Tu réalises

Toi, qui accourt n’importe où, déployé par Ton père vers les âmes brisées
Tu es un harif ivre comme un atome tournant autour du Soleil de Vérité
Toi, Cheikh Ibrahima Mahi Cissé, l’esprit ébloui, qui a reçu l’Annonce,
Dans une humilité sincère digne d’un disciple, sans que Ton cœur renonce

Toi, le vaillant missionnaire depuis la naissance, doté d’une âme choisie
Tu es né dans la belle cité de Médine d’une sainte mère, fille de Cheikh Mahi
Sayda aicha, fille de Sayda Salma fille de Mame Khalifa et d’aminatou Aïdara
Le dix-neuf novembre mille neuf cent quatre-vingt-seize par la volonté d’Allah

Tu as reçu la lumière de Tes pères sans pour autant l’abimer en ce sens
Toi, qui a débuté le coran dans les bras de Ta sainte maman puis à ‘’keurgou Bess’’
Daara d’imam Assane Cissé, ce sublime nom source de gratitude qui nous as ébloui
D’abord de la couveuse de Baye Wade à Serigne Daara Omar Gueye, des êtres d’esprit

Tu as décampé en Mauritanie à Aïnou Madi dans les vases de la divinité suprême
Toi, qui renferme une force mystique secrète qui perce l’intimité même des âmes
Tu bravas les connaissances à Al Azhar où Tu as eu le baccalauréat, O fils de Mahi
Avant de choisir le département littérature où Tu as obtenu cette année la Licence

En quête de lumière pour faire scintiller la Tarîqa et la Fayda de Tes ressources
Tes qualités et grandeurs restent déjà affétées car Tu es un des joyaux des petits-fils
Toi, la pépite des savants qui puise dans un angélique et inconnu marigot
Toi, qui es plein de foi, de confiance et en un geste avancé, Tu as pris le micro

Tu es né d’une sainte famille qui descend des hauteurs depuis le contour sacré
Des considérés patrons et travailleurs de la Fayda immunisés du démon qui divise
Toi, auguste guérisseur, bienheureux au cœur chaste près de l’Immaculée,
Nous offrant un amour avancé qu’on avait connu depuis les époques reculées

Tu as un regard empreint d’une forte humanité, Toi Cheikh Ibrahima Mahi Cissé
Baye Barham est tout ce que Tu affectionnes, Toi détenteur de la glorieuse pureté
Et de Ton cœur l’amour de Ton père germe, Toi messager de la loi et de la paix
Tes paroles sont fortement empreintes de sagesse et de la parfaite et divine réalité

Toi, beauté de la Fayda, guide bien éclairé, véhiculeur de la lumineuse parole
Fils, disciple et Mouhadam de son père qui nage dans la politesse totale
Je vois venir Tes grades et je me prosterne devant leur grandeur malgré moi
Que Dieu Te préserve, T’honore davantage, Te couronne et T’enracine dans la foi…

J’ai fait une exception, bravant mes propres lois pour Te dédié ce noble poème
Et je ne dirai jamais pourquoi suivez-le vous saurez par la volonté de Barham…

EL HADJI ABDOULAYE FAM
MA PLUME, UNE LUMIÈRE

 

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