A CHEIKH IBRAHIMA MAMOUNE NIASS: Khadimou Sahiboul Faydatidianiya, O combattant engagé, aux connaissances multiples, Tu es Cheikh Baye, l’homme des mérites
LE FIDELE SERVITEUR DU PEUPLE ; LE PORTE-PAROLE DU PEUPLE
Je m’adresse à Toi qui a vendu son rang de prince
Pour devenir le codex compilé au rang de prééminence
Tu es ce vent frais qui côtoie les essences sacrées sans fin,
Ces fragrances qui suintent au-delà du Lotus des Confins,
Tu es très ancré dans Ta conviction, dans Tes principes,
Dans Tes opinions, dans Tes pensées, dans Ta culture,
Et dans Ta foi, O illustre défenseur de l’islam pur.
O combattant engagé, aux connaissances multiples.
Je m’adresse à Toi Khadimou Sahiboul Faydatidianiya
Le fidèle serviteur du peuple, le petit-fils de Baye Barhama
Tu as bravé les péripéties les plus atroces et Tu as gagné en noblesse
Pour servir le meilleur des hommes, source intarissable d’abondance
De l’école de Cheikh Mansour Aïdara à Ségou au Mali
A l’institut islamique el hadji Abdoulaye Niass ici
Ta vision novatrice du monde contemporain est idyllique
Ce Baye Mamoune qui avait un regard politique sur la politique
Je m’adresse à Toi mon unique et bénie repère,
Dépôts des secrets et des connaissances de Ton père,
Dans les jardins de la Miséricorde je Te vois défiler des festins
Et je m’adresse à Toi qui a traversé seul la lotus des confins,
Tu as percé les vents de la souffrance en Arabie Saoudite
Là où Tu as vu en grandeur nature, à titre exceptionnel les salafistes
Je Te dédie mes louanges, ô détenteur de la bonté et de la félicité
C’est par Ta grâce, que Dieu repousse les maux qui m’ont hanté.
À travers Ta personne je convie tous les peuples vers ta cage
C’est grâce à Toi que j’ai, à jamais effacé mes erreurs
Et c’est à travers Toi que je cherche la meilleure élévation sieur.
Je m’adresse à Toi fils de Fatoumata Assane Dem, la princesse
Et de Mouhamadoul Mamoune Ibrahima Niass
Tu as foulé l’univers une aube du mois d’aout à Médine
Amenant en terre une lumière éblouissante qui jardine
Tu as rempli des cœurs et cela a changé des vies ancrées
Car pour Toi, la parole donnée est un engagement sacré
Dieu a exalté Ta renommée Toi maitre le serviteur des serviteurs
Tu as purifié des âmes qui ont fini par se noyer dans Ta lumière
Leurs espoirs sont en Toi, leur confiance T’est acquise
Et ils ne comptent que sur Ta sainte personne vertueuse
Aucun de ses enfants ne jouissent des dorures de son rang.
Je m’adresse à Toi, O le soleil de la guidée,
Qui ne fane jamais, qu’Allah vous agrée.
À Toi dont la vie est dissoute dans la vie du Noble Maître,
Que personne n’égale en supériorité car Tu es une perle rare
Tu es témoin Tes œuvres de Ton père, témoin de son temps,
Témoin de Sa noble vie, témoin de Son labeur géant,
Assiste-moi ici-bas et à l’au-delà, moi cette pauvre âme solitaire,
Le jour où le ciel s’évanouira ; ainsi que mes frères.
Je me repens en Toi, de par mon cœur intrépide,
Avec ma langue et ma plume durant l’ensemble des jours de peur,
En exaltant Ta grandeur et ta majesté, en t’exprimant, mon frayeur
Je m’adresse à Toi au plus profond de mon existence altérée,
Je dois ô Baye Mamoune Te chanter au rythme du vent
D’une mélodie pure, d’un pas aguerri et fringant,
D’une voix forte et posée, manœuvrant seul vers le périmètre sacré,
Et j’avance tout droit vers la félicité sans retour,
Dans cette voie que Tu as si bien tracée sans contours ni détour.
Tu es Cheikh Baye, l’homme des mérites,
Le miroir de science, la pépite divine bénie
Je m’adresse à Toi pivot central, travaillant tout le temps, jamais las,
Maitre éloquent avec une grande perspicacité sans paresse
Toi Cheikh Baye Mamoune Niass mon cri de bonheur
Je serai de ceux-là qui iront à Ta rencontre sans chaussures
Partout où la conscience me mène et me rapporte
Et voilà que l’espoir renaît sous les flammes de la souffrance,
Qui a fait de Baye Mamoune un conducteur d’existence,
Notre espoir est en Toi, Toi qui nous as ouvert les portes
De la félicité, cette élégie estampillée T’est dédiée,
Ô Médine aide moi à poser mes pas dans ce cœur dévoilé.
Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)