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A CHEIKH MOUHAMMAD DJIM LO: Je suis au garde- à- vous devant Ta grandeur, Toi, le transmetteur sincère, la trompe de la parole divine, je passe Ta vie en revu pour viser le salut, Toi le doux soleil toujours modeste et amical … ( Par le poète de la Fayda El Hadji Abdoulaye Fam)

A CHEIKH MOUHAMMAD DJIM LO: Je suis au garde- à- vous devant Ta grandeur, Toi, le transmetteur sincère, la trompe de la parole divine, je passe Ta vie en revu pour viser le salut, Toi le doux soleil toujours modeste et amical

A CHEIKH MOUHAMMAD DJIM LO: Je suis au garde- à- vous devant Ta grandeur, Toi, le transmetteur sincère, la trompe de la parole divine, je passe Ta vie en revu pour viser le salut, Toi le doux soleil toujours modeste et amical … ( Par le poète de la Fayda El Hadji Abdoulaye fam)

Aujourd’hui est un jour béni, un jour ou je rends un grand hommage
A un être, qui a été sincère dans son serment envers Allah et ses anges
Pour cela, je mets les pieds d’amour dans des sables mouvants de la foi
Pour Toi, Cheikh Mouhammad Djim Lo, qui nourris et assoiffe à la fois

Et j’ai compris que chaque résistance pour s’en extirper l’enlise encore
Car Tu fus un savant pluridisciplinaire porteur du drapeau des honneurs
Un parfum troublant acheminé dans ce bas monde des pourvoyeurs
Un Mouhadam dévoué à la cause faydatique qui a aussi servi son terroir

Je suis au garde-à-vous devant Ta grandeur, moi, poète de la Faydatidianiya
Car Tu es dans le cœur et l’esprit des sénégalais, Toi qui inspirait le charisme,
Le respect, la dignité ; dans la recherche de la science, Tu voyais que Médine
Toi, le transmetteur sincère, la trompe de la parole divine du Barhamisme

Qui sème des graines de pensées dans les esprits émanant de Sifati Zati
Et ces grainent germent et croissent et la Mahrifa prend possession des âmes
Je viens vers Toi maitre reflet des immenses azurs ou dort un pur esprit
Tu as échangé l’obscurité pour la lumière, Toi Cheikh Djim vicaire des âmes

Je passe Ta vie en revu pour viser le salut car je sais que à Baye, Ta vie
Toi le doux soleil ; laisse-moi alors reposer sous Ton voile aujourd’hui…
Tu es né à Nguer Babou Lo, dans la communauté rurale de Wack Ngouna
En mille neuf cent quarante-neuf pour aider à déchiffrer les signes d’Allah…

Les torts que Tu as subis T’ont purifié depuis Ton éducation coranique
Chez Serigne Daara Mbaye LO à Thiaméne Keur Sabasssy, la cité mystique
Avant d’atterrir à Médina Baye dans la grande école de Baye Amadou Thiam
Jusqu’à ce que le soleil succéda aux nuages et l’arc en ciel à l’orage même.

De là, le destin Te guida à Saint-Louis, puis à Dakar avant de Te mener en Libye
Et finalement à la grande université d’al Azhar ou une aurore T’a fait naitre
Et Tu devins, Maitre une fleur qui s’épanouit à l’aube du jour renaissant à la vie
Après Tu fus orienté à l’université Ain-Shams, ou Tu as obtenu Ta licence en droit…

A travers un toit à Rufisque j’oublie ma vie et pense à Toi, Mouhammad Djim
Je n’ai pas le cœur brisé mais paralysé et j’ai du mal à le réanimer avec ces rimes
Car j’ai su que les vrais hommes de la pureté sont avec Baye et Tu en fais parti
Parcelles Assainies unité vingt un pleure car son diplômé de psychologie est parti

Tu as été rappelé à Dieu le lundi douze juillet deux mille vingt un, c’est une leçon
J’ôte mon pare-balles du cœur, et c’est pour ça avec ce poème Je monte le son
Sous les feux de ces lumières, au milieu de cet océan je vogue en équilibre
Telle la lune Ton visage rayonné, tel le soleil Ton sourire émerveillé, Maitre !

Dans les esprits Tu resteras le bien aimé, Toi qui appelais toujours à la bonté
Tu aidais les pauvres et les opprimés, et loin de Toi, l’amour de la notoriété
Toujours modeste et amical, Tu pardonnais, conseillais, motivais et soutenais
Ta volonté était de rassembler et notre souhait aujourd’hui est de Te ressembler

Toi l’avertisseur de la parole divine, Toi, l’imam Djim l’homme des faveurs
Tu es un compétent pluridisciplinaire, le porteur de l’oriflamme des honneurs
Ta grandeur du cœur égale la beauté de Ton âme, Toi qui a parcouru le golf :
De l’Arabie Saoudite, au Qatar, du Koweït aux Emirats, Tu as sué pour le triomphe

De l’islam. De l’Afrique aux Etats-Unis, Tu excellas en Mahamas et en perceptions
Toi, le disciple de Mouhammad Hady Ibrahim Niass, l’être qui T’a mis en mission
Et élevé au grade de Mouhadam, Toi fils du frère de Cheikh Omar Lo de Lamarane
Ce fidèle cité dans ‘’Jawahiroul Rassa-il, al wacàya’’ par l’homme de Médine…

Que Cheikh Ibrahima T’élève éternellement et propage Ta lumière vers les cieux
Je m’en vais boucler le poème remerciant Ibrahima Diassé Ton fidèle neveu
Sa femme Sayda Aminata Lo, la sainte ainesse et son frère Mouhammad Hady
Ces pépites d’or gardiens de Tes secrets, des pures âmes ou dorment une paix infinie…

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)

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