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A SERIGNE MASS MARIAMA NIASS: Tu es la belle grâce du grand qui astique le cœur et renforce la foi. Un pilier de la fayda, une force tranquille, Toi le fils du grand pôle de son époque, le disciple de première heure (Par le Professeur, EL HADJI ABDOULAYE FAM)

Tu es la belle grâce du grand qui astique le cœur et renforce la foi. Un pilier de la fayda, une force tranquille, Toi le fils du grand pôle de son époque, le disciple de première heure

Tu es la belle grâce du grand qui astique le cœur et renforce la foi. Un pilier de la fayda, une force tranquille, Toi le fils du grand pôle de son époque, le disciple de première heure (Par le Professeur, EL HADJI ABDOULAYE FAM)

SERIGNE MASS MARIAMA NIASS

J’ai demandé à Baye d’alléger ma charge, mon fardeau pour me faire du bien
Et lui, il me dit « fais-moi confiance je vais Te fortifier et Te montrer historien
Comment porter ce que je veux que tu portes dans les méandres des Mahamas
Ainsi je me suis réveillé, élevé bravant les limites pour voler vers les ‘’Salihinas’’

Voler vers Toi Serigne Mass, la grâce exceptionnelle du maitre exceptionnel
Sandales enlevées, âme agenouillée, silence de cimetière, je débute mes paroles…
Entend mon cœur mon esprit qui Te loue, ce chant d’amour de cet sans-âge
Qui prend ces faibles mots pour Te dire tout l’amour qu’il Te porte en message…

J’ai vu en rêve, dans la vallée des bienheureux, sous un ciel éclairé sans nuage
Une prairie fleurie ou l’amour de Cheikh Ibrahim fait partie du codé langage
Des hommes qui l’habitent comme Toi, grand Maitre Mass Mariama, le sage
Autant de joie qui rayonne comme un cœur chargé d’Amour qui fait ombrage

Qui s’envolait vers le bonheur au parfum de délices après ce somptueux voyage
Tu es la belle grâce du grand maitre qui astique le cœur et renforce la foi
J’ai cherché des assidus disciple sans fin mais y’a peu qui sont comme Toi
Tu es le fils du grand pôle de son époque et Tu es né à Keur Samba en Gambie

Je Te chante alors Baye Mass Mariama Niass, la grâce infini de Mame Aladji
Tu es plus grand que tout ce qu’on dit de Toi, vraiment grand, Tu es un grand
Tu as voulu toujours élevé Baye tel un étendard sur ce pays de grands savants
Lui qui a bouleversé Ton plan pour Te faire entrer dans le tien qui est meilleur

Car ces prières privées ont été des miracles publics alloués par le seigneur
Tu es un pilier de la Fayda, une force tranquille, un être comblé de faveurs
De Ton Keur Samba, cette cité profonde qu’on ne peut sonder, Tu fus béni
Toi missionnaire de la paix, de la justice, un maitre o combien hors pair Bilahi

Tu es très haut en Mahama qu’on a du mal à Te maîtriser avec nos faibles esprits
Alors ouvre mes yeux que je vois Ton armée, ce précieux trésor qui tranquillise
Pour montrer à tous la vérité et le chemin vers le ciel qui ravive et maitrise
Ta mère Mariama Thioub a parcouru l’existence dans les puretés éternelles

Au côté de Ton père Abdallâh qui a un nom qui vient du ciel et fait merveille
Toi l’homme à la détermination sans ombre et à l’engagement sans faille
Tu es un savant qui fil à fil se délie révélant son trésor tout palpitant
La pureté divine au courage sans débilité, Toi soleil béni du soleil couchant

Ton âme était à l’étroit dans Ton corps qu’il considérait comme une prison
De Ton keur Hamath Asta à l’hôpital de Kaolack, Tu es parti en homme bon
Tel une goutte d’eau dans l’océan, Tu as voulu un séjour qui n’a pas d’horizon
Toi le disciple de première heure, l’honorable maitre de la sagesse si sure

Et aux caractères si chères celui que toute âme se plait à écouter ces dires
Tu es cette lueur particulière, une scintillante lumière, une thérapie de vie
La suprême voie secrète qui s’exile, Toi l’homme orné d’une pureté ressentie
Tu es la voie de la voie, le chemin de l’éternité, La récompense des soufis,

Toi, le véhicule de la parole divine, le soleil de la religion à l’esprit subtil
Je resterai assis devant Ta porte jusqu’à ce que Tu me vois, moi pauvre mortel
Tu es le remarquable trancheur des difficultés par Ta lumière existentielle
Que j’explore jusqu’à me perdre dans mon étude pour Toi âme, tombé du ciel

Éveille-moi, éclaire moi soutient moi Maitre, et donne-moi la vie éternelle
Tu es pour la justice un soleil brillant, d’une démarche digne d’un maitre
O cœur de lion, joie des esprits, Toi le flambeau qui luit dans notre brouillard
Tu as été avec Baye partout, à Médine, dans les Wassifa, à la Mecque,

Toi maitre, le soleil des cœurs purs, tapis dans l’ombre dans la pratique
Tu as été un élan vital pour Tes frères de même mère, le saint Hady Mariama,
Mame Ousmane Mariama, et ta sœur Sayda Mariama Fall, la grande diva
Toi, le Grand cultivateur éduqué des mains de Ton père et de Cheikh Ibrahim

Tu es une volonté qui est à la fois puissance, ordre équité et sagesse même
Un doux parfum qui émane et assiège tout le temps nos âmes, Serigne Mass
Tu as poli le miroir des âmes jusqu’à ce que les lumières s’y reflètent sans cesse
Le maitre qui agit avec simplicité, générosité, qui règne sur les territoires

Tu es celui qui parle par la langue de la vérité et guide parle le savoir
Gratifie-moi de dons, et élève ma voix, O pure clé de tous les mystères…

Source: Faydatidianiya.com – ELHADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)

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