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A THIERNO ABDALAHI DIA DE BOGHE: Tu es un pilier des piliers de la Faydatidianya, Toi la noble flamme d’espoir, l’océan de la certitude, Ta lumière se répand comme un flot, Toi le chevalier de l’islam, l’étoile de Boghé, le condensé de toutes les grâces de la connaissance ( Par le poète de la Fayda, El Hadji Abdoulaye Fam, Ma plume une lumière)

THIERNO ABDALLAH DIA DE BOGHE L’OCÉAN DU SAVOIR

A THIERNO ABDALAHI DIA DE BOGHE: Tu es un pilier des piliers de la Fayda, Toi la noble flamme d’espoir, l’océan de la certitude, Ta lumière se répand comme un flot, Toi le chevalier de l’islam, l’étoile de Boghé, le condensé de toutes les grâces de la connaissance

THIERNO ABDALLAHI DIA DE BOGHE L’OCEAN DU SAVOIR

J’ai ramassé ma plume au moment où les poètes buvaient du mauvais vin
Pour Te rendre gloire, Toi le digne fils de Ton père assis sur son lit divin.
Salut O Toi, l’étoile de Boghé parmi la sainte constellation de Cheikh Ibrahim
Et Reçois la salutation pieuse de ce talibé implorant Ta bénédiction suprême

Car Ton unique regard d’affection est une fontaine de bienfaits et d’élévations
Ton honnêteté est reconnue par tous les humains car Tu es toujours dans l’action.
Je T’ai cherché tel un mort mais une fois que je T’ai trouvé je me suis ressuscité
Alors montre-moi le chemin qui mène à Toi car Te voir, c’est trouver la félicité

Toi qui es né en mille neuf cent vingt-neuf à Boghé en république Mauritanienne
Ta compagnie est un repos de l’esprit et Ta proximité est une lumière divine
Toi qui fut honoré de grâces qui se réitère fortement car Tu es connecté à Médine
Ainsi penser à Toi est un délice car Ta perfection est évidente pour les aspirants

O maître vraiment je n’ose pas dire ce que Tu es, hélas ! car je suis un inopérant
Ton père, un homme de Dieu averti, a débuté Ta formation dans sa propre cour
Ou le jour a jailli pour illuminer tant d’âmes changeant des rancunes en amour
Avant de Te confier au grand Thierno Abou Mamadou Sileye Djigo de Lopel

A Thierno Bocar Yéro Djigo de Bakao, à Thierno Aliou samba Dem à Monguel,
Toi la noble flamme d’espoir dotée d’une gloire qui brûle à l’infini pour la justice
Foulant ses terres, Tu T’es ajusté davantage de Cheikh Ahmed Tidiane de fez
Ta sublime voix allaite en continu, Toi le maître incontesté du pur « Tawhid »

Tu es l’océan de la certitude pure pour les créatures, l’ombre de la miséricorde
Tu T’es enrôlé dans l’armée française y reçu le grade honorifique de caporal
Toi, le lion qui surgit et qui brave les assauts avec la pure lumière principale
Le souverain avéré de la dévotion, le méritoire héritier du soleil couchant

Tu as revu le livre sacré avec Thierno Amadou Néné Ba à Kaédi en quatre-ans
Ce prince de la science à qui, Tu as tendu Tes mains pour qu’il y déverses la grâce,
C’est après que Ton âme a indiqué la voie qui mène à Cheikh Ibrahima Niass
Tes œuvres achèvent une carrière que l’on verrait couter à d’autres un siècle.

Avec Ton Maitre Thierno Abdallah Sakho, Tu as fouillé les sciences ésotériques
Pour faire jaillir la Mahrifa sur les quatre angles ouverts à la zone faydatique
Avant de venir pour apprendre la traduction du coran à Medina Baye Kaolack
Lorsque Tu as senti, la pureté de son souffle, la netteté de son regard mystique

Ainsi à l’encre de ses yeux, Tu as vu Ton rayon de soleil briller et se propulser
Toi qui n’a redouté aucune avalanche, qui a fait un brillant parcours, encensé
De l’enseignement élémentaire au secondaire, Tu as contemplé le toit des cieux
Même si l’épreuve était là avec ses soucis car Tu es un guide vraiment merveilleux

Une lumière salvatrice, une lumière purificatrice et une lumière inondant le monde.
Arborant Ton humble statut de disciple Tu as aussi appris dans le livre du monde
Du poste de préfet à Oualata, Boumdeyd, Monguel, et de gouverneur adjoint à Néma
Ta lumière se répand comme un flot de joie et procure le contentement en Allah

Comme disait Cheikh Ibrahim Niass, Tu es le pilier parmi les piliers de la Fayda
Tu es un chevalier de l’islam, un grand mystique qui as illuminé des cœurs
Instruit, éclairé, édifié et allumé la lumière divine sans faire usage de la vigueur
Toi, la lumière faydatique qui rayonne telle l’aube dans sa plus pure grandeur

Baye T’a garanti avant de Te hissé au rang qui T’es dû dans les rangs supérieurs
Tu as été l’un des plus savants des hommes éclairés, l’homme ivre de sciences
Tu es l’étoile de Boghé, le condensé de toutes les grâces de la connaissance
Un sujet parfait, une référence parmi les initiés de Cheikh Ibrahima Niass

Toi que Dieu a béni la communauté, Toi, l’aurore des cœurs purs et véridiques
Qui versent sur nous la confiance pour nous inculquer la rigueur dans la pratique
Tu as une éloquence persuasive et bienheureux est celui qui a fait alliance avec Toi
Mes énergies convergent vers Ta station, lieu de prédilection des pôles et de la foi

Pour T’applaudir même mes mains s’impatientent, Toi l’être à l’amour immodéré
Pour Cheikh Ibrahim, Toi le maitre d’Oustaz Ahmed Ba, ce reflet de Ta majesté
O cheikh Abdallah Dia, j’étais venu gémir plaintivement à Ta divine porte,
Ouvre-la-moi, gratifie-moi de grâces et admets-moi pour que je Te reflète…

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)

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