Ô Mouhammad (saws) : La clarté éclatante, maître des créatures… ( Par El Hadji Abdoulaye fam )
O Mouhammad, le consolateur des affligés Consolateur des êtres faibles et brisés enragés, Qui écoute avec complaisance les requêtes des demandeurs Tu assures la sauvegarde du bienveillant serviteur Engagé dans la connaissance, la droiture, la voie du seigneur, Procure asile à l’adorateur et dissipe les ténèbres devant le pieux serviteur.
Mouhammad recours des miséreux en quête d’asile Tu constitues l’interlocuteur à qui s’adressa à l’éternel Car Tu eus le privilège de dialoguer avec Ton Seigneur Ayant obtenu sa rétribution et son agrément et tant de faveurs, Toi Moustapha, la lumière qui illumine les demeures, Qui permet de vivre après même la mort.
O Mouhammad la clarté éclatante, Il Te revient ô messager! Des miracles provenant de Dieu, Des dons qui n’ont jamais été accordés à Tes aïeux, Que la langue ne peut même pas nommer et cela me hante.
Ô Toi la meilleure créature qui repoussa les calamités, Toi le père de Fatimatou, la respectée.
O Mouhammad le maître des créatures, Tu es le maître noble et généreux dont je suis le serviteur, Aussi me consacrerai-je à jamais à chanter Tes louanges… Je T’ai dédié des panégyriques qui mènent vers la félicité des anges Et qui préservent de l’humiliation et de la peine ardente J’ai été ainsi gratifié, grâce à tes louanges, d’un bénéfice juste
O Mouhammad, l’océan de générosité de Dieu! Ô peuples des terres et des mers ! Accourez sans tarder vers ce vertueux Je me sens toutefois incapable d’accomplir parfaitement cette tâche; Pourrais-je jamais Te chanter comme il se doit à l’instar des virtuoses, lâches En poésie? Mon encre s’est tarie et mon cœur désemparé Ne pouvant louer comme il sied le guide des apeurés.
O Mouhammad, lumière des contrées, Tu constitues maître mon espoir, mes sorties, et mes entrées Comment arriverai-je d’ailleurs à chanter assez bien ce Maître, Dont même les hommes les plus sagaces n’ont jamais réussi à faire Convenablement la louange Oh Serigne Cheikh Tidjane Sarr! Mon Mouhadam je reviens vers Toi pour ne pas être en retard.
O Mouhammad, le perspicace qui a retiré les voiles, Qui a éclipsé les maux, dévoilé les bienfaits et procuré la joie, Il m’a invité à côté de lui sur sa divine toile, Chassé ma douleur et m’a conduit vers le salut avec foi, Il a brisé le carcan qui m’enserrait et m’a gratifié de faveurs. Il m’a guéri des attachements de mon cœur
O Mouhammad, le recours qui suscite du profit; Le prophète, dont la libéralité est notoire, a éloigné les malheurs, Étalé les merveilles et écarté à jamais les fléaux de ma personne replie
Source: Faydatidianiya.com- El Hadji Abdoulaye fam extrait de Mouhammad le soleil du levant