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Plume d’un « Talibé » : CHEIKH IBRAHIM NIASSE  » LE SOLEIL DU COUCHANT  »

CHEIKH IBRAHIAM NIASSE LE SOLEIL DU COUCHANT

Ô Barham, le fils d’Abdallah,

Le prince des mystiques le préféré d’Allah,
Donne à ton pauvre disciple mortel,
Oh Barham l’averse d’un amour maternel,
La vigueur inépuisable de la foi suprême,
Ce flot qui coule très clair et très calme.

 

 

Ô Barham, maitre des rois et des empires,
Donne à ton sujet, l’ampleur d’une poitrine,
D’exploit et l’écho généreux d’une voix divine,
Pour t’honorer toi le sage, le sagace, le pur.
Pour te glorifier et porter tes louanges.
O fils d’Astou Diankha, la bénie des anges.

Ô Barham, le mérite du Dieu unique,
Maître de l’univers sensible pacifique.
De Taïba à Leona passant par Médine, le pas final
Ton succès islamique était international.
Oh toi soleil de la religion,
Toi la synthèse de toutes les missions.

Ô Barham, Kaaba des bienséances,
Et Arafat des difficultés et soucis denses.
Toi le cadenas de la porte des âmes
Celui qui me donne le feu du Mahrifa qui enflamme
À toi Haliloulahi qui a rayonné le monde
A toi Niasse qui me donne ces pensées profondes.

Ô Barham, l’explorateur des cœurs,
Tous mes moments ne sont qu’un éternel passage
De la crainte à l’espoir, de l’espoir à la rage,
Je désire maître le lait spirituel meilleur
Moi qui étais un bébé dans la foi
Où l’emblème lumineux du Mahrifa me fait la loi.

Ô Barham, l’océan de la réalité divine,
Et de la loi révélée dans la cité de Médine,
Toi la lumière enchantée l’éclat du juste,
L’inégalable et l’inépuisable trésor manifeste.
Béni nous toi, le plus béni parmi les bénis
Toi la réincarnation du Cheikh Tidjiania.

Ô Barham, l’aube qui s’évapore,
De mon sommeil d’amour qui dur encore,
Et encore jusqu’à quatre heures du matin,
Je veux tenir mon chapelet dans ma main,
Contemplant ton univers, la vérité puissante,
Aux plans dévoilés de ces déclarations présentes

Ô Barham, le secret des deux mérites superposés,
La niche de lumière le Kassatyl khass,
Qui s’est manifeste à la Mecque et a Fass,
Ne me châtie pas maitre, je ne te dévoile pas. J’ai osé
Car en te contemplant je me contemple,
Et en me contemplant, tu te contemples.

Ô Barham, le grand saint aux yeux de Dieu,
Toi-même qui as traversé les océans de valeurs,
Du prophète qui nous est descendu des cieux.
À toi le grand guide, la pierre philosophale de faveurs,
À toi qui t’es coiffé du plus pur turban
Des secrets, le grand glaive de l’islam garant.

Ô Barham, l’héritier de ses secrets qui abreuve les pôles.
J’étais un assoiffé qui courait de toute part dans la commune ;
Et ton choix me guida vers ce savoir de fortune,
Qui m’a raffermi et m’a donné un envol
Tout jeune encore du temps que j’étais écolier.
Et audacieux, je restais des soirs à veiller.

Ô Barham, le trésor le plus sublime,
Toi qui m’as d’un endroit secret non visuel, élu :
Général, même si je le jure je ne l’avais pas voulu.
Je m’évertue en protégeant les vieilles âmes qui dorment
Car moi-même, je dormais dans le lit de Khaybou,
Lorsqu’on annonça ta venue toi, Khoutbou

Ô Barham, la station du maitre de notre maitre
Je te dis repos, Maître de par ma voix qui gronde,
Et mon cœur purifié qui vous sert un monde,
Toi le grand éducateur spirituel Samsoul Khaqqui, notre père,
L’enseignant de l’islam l’orthodoxie profonde.
Cheikhoul Koulou Awliyahi dans ce monde.

Ô Barham, vous qui avez succédé dignement Ahmed:
Son sceptre. Puisant des valeurs sur Mohamed
Toi qui as déversé le Kawssara à flot,
Que Mbaye Niasse reçut, et voulut garder huit clos.
De ton voyage à Londres, en Angleterre,
Ton élévation en Allah a bouleversé la terre.

source : faydatidianiya.com – Poéme de EL HADJI FAM

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