Serigne Mbaye et Cheikh Ibrahima étaient, comme le dit le poète « plus que des frères ». Une fraternité, une amitié, une complémentarité, un pacte scellé par leur père El hadji Abdoulaye lorsqu’il déclara : « Bakary, étant donné que tu n’as pas de frère aîné dans la Famille, fais de Ibrahima ton frère aîné ; et en retour, Ibrahima qui n’a pas de frère cadet, te considérera comme son frère cadet ».
Dans les correspondances de Baye NIASS destinées à Serigne Mbaye, on a relevé certaines expressions d’une haute portée :
– Vers mon fils, l’âme de mon cœur…
– celui qui incarne les secrets d’Abou Bakri, khalife du Prophète,
– Tu m’adorais lorsque j’ignorais la signification du verbe adoré
– Tu occupes une place de choix dans mon cœur
– Mon fils et parent, véridique disciple (mouride sadikh)… ma silhouette
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Source : faydatidianiya.com