O Barham, toi qui as remporté la boule de l’excellence. Sur des milliers de soufis, toi le fils d’El Hadji Abdoullah. J’ignore Maitre si je suis de tes élus de sciences.Mais ma vie est arrivée à son terme en te chantant. Et mes mots sont sur mes lèvres couchant.
De ton sourire qui répandait du sucre blanc. Cent roses s’épanouissaient sans attendre le printemps. Tes lèvres étaient la source de fontaine de la vie qui me suit. Qui me donne la richesse de mon cœur qui augmente ma vie. Moi cette faible ombre anéantie, tout démuni.
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source : faydatidianiya.com