Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Baye Le meilleur de ceux qui appellent vers Dieu, Tu as fait de moi un être tolérant au cœur dense, tu es le soleil de la joie qui illumine toutes portes alors fais de moi un signe d’entre tes signes

Le meilleur de ceux qui appellent vers Dieu, Tu as fait de moi un être tolérant au cœur dense, tu es le soleil de la joie qui illumine toutes portes

Ô Barhama ! Le grand saint aux yeux de Dieu: L’océan de lumière, l’inégalé, le confident, le proche, l’intègre, le pur le physique de Dieu ( Par El Hadji Abdoulaye Fam )

Baye Le meilleur de ceux qui appellent vers Dieu, Tu as fait de moi un être tolérant au cœur dense, tu es le soleil de la joie qui illumine toutes portes alors fais de moi un signe d’entre tes signes

Ô Barham, le détenteur de la puissance absolue
C’est vers toi que se fera mon retour en compagnie des miens. Je l’ai su
Car tu as purifié mon âme et m’as délivré des attaches terrestres,
Tu as annihilé mon incertitude et, en ma faveur, définitivement retiré les voiles
Tu as préservé ma proximité, accrut mes faveurs
Et généreusement pérennisé mon être intégral.

Ô Barham, ô toi qui détiens les avantages !
Je te dédie mes louanges, ô détenteur de la bonté et de la félicité
C’est par ta grâce, que Dieu repousse les maux qui m’ont hanté.
À travers ta personne je convie tous les peuples vers ta cage
C’est grâce à toi que j’ai, à jamais effacé mes erreurs
Et c’est à travers toi que je cherche la meilleure élévation sieur.

Ô Barham, tu es le magnifique vers qui je me tourne,
Tu as effacé de mon cœur tout penchant de haine
Tu constitues ma voie vers le maître absolu, toi qui as la vertu
D’effacer les ternissures et de mener vers la pureté inconnue
Et m’as préservé des facéties de la jeunesse dans l’ardeur et la dévotion
Tu es mon bien-aimé, et on t’aime à travers ma personne sans subordination

Ô Barham, le meilleur de ceux qui appellent vers Dieu
Tu es l’asile des serviteurs reconnaissants ces pieux
Toi qui chasses le comportement rebelle débordant de haine
Tu symbolise, Baye Barham à la fois le paradis et l’éden
Tu as fait de moi un être tolérant au cœur dense
Toi dont la primauté s’avère indubitable aux yeux d’homme doué d’intelligence.

Ô Barham, le savant de son époque,
L’incomparable en son temps, soulagement et gloire unique
Tu es le détenteur des stations les plus enviables
Des mérites glorieux et des prodiges apparents qui nous viennent
Enracine mes pieds fermement dans la Charia pour que je me souvienne
De vous, toi la source des secrets et des réalités sensibles

Ô Barham, le docte majestueux et méritoire,
Mon état de ravissement a pris le dessus sur mon « noir »
Et j’ai pris de toi, la voie seigneuriale Ibrahimiya ;
Voici ce qui m’est survenu avec toi, Barhama,
Je suis un Majdhoub cheminant qui t’es dévoué, ton soldat ;
Et tu m’achemines d’une voie spirituelle à une autre vers Allah.

Ô Barham, détenteur des prodiges abondants,
Tu es la pleine lune du bonheur qui a illuminé,
Les obscurités et le soleil de la guidée.
Je n’ai plus les mots pour expliquer l’inexplicable,
Alors fais de moi un signe d’entre tes signes,
Pour que je puisse acquérir les traits honorifiques.

Ô Barham, le perspicace doué d’entendement,
Celui qu’on désigne dignement du doigt de l’orient a l’occident.
Tu es le dépôt des connaissances de miel,
Toi, qui porte le rite de l’imam Malik jusqu’au ciel,
A la science luxuriante et au degré somptueux magique.
Tu étais dans la conformité des caractères prophétiques.

Ô Barham, la couronne de la sainteté magique,
Celui qui a eu les prodiges apparents,
Les caractères nobles aux comportements éclairants,
Tu es celui qui ne fut jamais atteint par quiconque,
Car tu es le détenteur de l’immense grâce de ce matin,
Le maître, l’origine et la fin promis par le destin.

Ô Barham, soleil de la joie qui illumine toutes portes,
Le supérieur dans le summum des degrés supérieurs.
Qui éduque inculque et éclaire avec tant d’ardeur.
C’est sûr qu’on m’a devancé, mais je m’accroche à ta corde,
Et je m’empresse à l’accomplissement du bien familier,
Où jaillissent des rayons de grâce par milliers.

Ô Barham, l’immense khalife doté de la station élevée,
Tu es l’honorable savant, le célèbre connaissant qui m’a sauvé.
J’ai puisé dans ta niche de lumière secrète orientale,
Et je veux être à tes services avec mon corps et mon cœur natal,
Pour devenir un savant réputé au service de la religion chère,
Dont la lumière parle un langage de paix et éloigne de l’enfer.

Ô Barham, poète et écrivain émérite merveilleux,
Docteur Honoris Causa de plusieurs universités islamiques
Tu as été le conseiller personnel du roi Hassan II
Et tu fis son premier pèlerinage en 1937 à la Mecque
Maitre, tu terminas en 1975 à Londres tes voyages multiples
En laissant un héritage tant dans le domaine social que spirituel.

Source: Faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye Fam