Toi le dépôt précieux d’Imam Assane, le divin; O fontaine de la générosité d’Allah, je Te vois scintiller comme une perle à Castor dans Ta mission
LE DIPLOMATE DE LA FAYDATIDIANIYA, UNE BRANCHE DE L’ARBRE CISSEEN
Permettez-moi Cheikh Abdou d’étaler les ‘’morceaux’’ de Ta vie
Afin de me soulager à travers ma plume et mes écrits
Je suis seulement venu solliciter une miséricorde
Dans la part de miséricorde qui T’est conférée dans ce monde
Et je reçois ce vent doux qui m’insuffle ces mystères
Et je Te chante moi, ce bout de bois de Dieu fier
Bénie soit Ta noble Mère Sayda Maty Sall, cette femme chaste
Aux actes insondables qui a honoré son engagement faste
Vis-à-vis de son mari, Ton père El hadji 0mar Ndao, ce soleil couchant
Jusqu’à l’épuisement des cartouches de commandements
Mon cœur est sous le charme de Ta sublime personne parfaite
Aux rives bénies de Ta lumière baignée dans la grâce céleste
Tout de Toi Mouhadam, me rappelle le vénéré Imam Assane
De ce manteau que Tu as sublimement porté qui émet de Médine
Ces qualités de grand homme qui fondent Ta noble vie…
Révèle-moi alors le contenu de Tes pouvoirs aussi
Ces mystères qui engendrent grâces et bénédictions
Et voilà Cheikh Abdou mes énergies qui convergent vers Ta station
Ton soleil a tenté d’être discret mais cela lui est impossible
Car ces rayons sont allés se promenerà d’autres rivages cibles
Toi qui vogues tout droit sur l’océan de connaissance sans fin
Toi le dépôt précieux d’Imam Assane, le divin
D’une douce parole souvent comique Tu m’as séduit
Et d’un charme inouïe Ndao Tu m’as conquis
Témoin de Ton amour pour Cheikh Imam Assane, je le maintiens
Convaincu de Ta confiance pour Imam Cheikh, je soutiens
Sûr de Ta soumission et de Ta dévotion pour Cheikh Ibrahim,
Je peux en jurer car Ton cœur brûle dans l’éternelle flamme
Son eau paradisiaque T’arrose et T’arrosera
Et Imam, ce jasmin qui parfume Tes jour T’enrôla
Dans Ses douces pluies d’amour, Ta vie bascula
A Leona au zawiya tout était froid, triste et monotone
La douleur apaisée parfois par un divin contequi tonne
Tu as tout sacrifié sans plainte et sans regret Maitre
Et l’heure marcha sans bruit sous un globe de verre
Tu as cherché Dieu partout répondant à tous ces appels
Fréquenté ces amis des fois T’isolant pour communier avec l’éternel
Donnez-moi Tes secrets que je prenne la route
Toi la référence qui depuis tant d’années était en doute.
Du C.E.M Moustapha Ndiaye à Ta demeure à Leona sis Kaolack
De Valdiodio Ndiaye à l’université au département science juridique
Rêve bouleversant, dos tourné Tu répondis à l’appel de Baye…
Des mains de Arona Diaw au Mouhadam Ibrahima Mbaye
De la zawiya de mon homonyme à Cheikh Malam Adama Kocci
Finalement juste un regard d’Imam T’a délivré O Sifati Zati
D’un début incertain tout commença à Fann Hocktout bas
Dans une semence d’échange, voilà le déclic avec Moussa Kaba
Pour la récolte des fruits sous le pied de l’arbre paradisiaque Touba
Tu es un maitre incontesté de la dévotion chaste
Je Te tends ma main, déverses-y Ta grâce
Qu’ai-je réellement fait pour mériter de Te chanter
Avec ces airs qui Te sont dédiées et qui habitent ma sérénité
Envie de boire Ta parole envie de T’écouter
O astre lumineuxaux effets curateurs qui m’a hanté
O Toi qui est la fontaine de la générosité d’Allah
O Toi soleil du royaume spirituel degrâce de la Faydatidianiya
Tu as éclairé les habitants des régions et des villes à Dakar
O pleine lune, signe de notre Imam gracieux cette perle rare
Je constate avec certitude une telle gloire sur Ton visage
Par Ton spiritualité, Ton élégance, et la fraicheur de Ton cœur
Tu T’es élevé au-dessus de la foule et des créatures
Et avec les enseignements d’Imam, Tu en fait des corans et des bibles
Un archer talentueux dont les flèches ne ratent jamais leur cible
Je T’ai trouvé être tel un océan de vérités et de direction
Et je Te vois scintiller comme une perle à Castor dans Ta mission
A Dakar Idiaza en poche…Tu deviens l’unificateur de la Faydatidianiya
Et nous voilà au débuts d’une belle histoire avec ce soldat…
Tenant une coupe entre Tes mains, Tu accouches les cœurs noirs
De Fann Hock à Gueule Tapée, passant par l’ultime cité de Castor
Les foules assoiffées accourent vers Toi et Tu deviens leur mentor.
Les blessures du passé oublié, une belle vie pour toujours
Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)