A CHEIKH ABDOURAHMANE NIASS: L’ARCHITECTE, LE BÂTISSEUR ET L’ECLAIREUR DE LA FAYDATIDIANIYA (PAR EL HADJI ABDOULAYE FAM)

 L’ARCHITECTE, LE BÂTISSEUR ET L’ECLAIREUR DE LA FAYDATIDIANIYA

A CHEIKIH ABDOURAHMANE NIASS

 L’ARCHITECTE, LE BÂTISSEUR ET L’ECLAIREUR DE LA FAYDATIDIANIYA

Je pose sur ma feuille ces quelques mots qui me viennent,
Pour Te témoigner mon amour, ma gratitude dans ce poème.
Je ne sais pas si je trouverai les phrases, si je trouverai les termes,
Pour T’exprimer à quel point, Abdou Rahmane Ibrahim, on t’aime.

Au jour où Tu naquis, Tu irradias la terre,
Et l’horizon entier s’emplit de Ta lumière.
De naissance noble entre deux lignages des plus sacrés au sol
L’enfant angélique venait d’ouvrir sur tapis rouge le vol,

Toi, le fils béni de la sainte majestueuse Adja Zeynabou Thiam
Et du digne de confiance, le rare étalon vers Dieu, Cheikh Ibrahim
Le coran maitrisé à l’école de ‘’Medina Baye’’ chez Rabbani
Dans les mains bénies de Mouhamadoul Nazir, une partie de Ta vie

Prêt d’El Hadji Abdallah Niass, ce phénix qui dégage une aura
Ou que Tu sois, quoi que Tu fasses, Tu seras dans la Fayda
Depuis mon cursus, Tu es mon plus fort repère
Le meilleur ouvrier céleste, le meilleur des pères

Je me noie dans l’océan de Ton cœur chaque fois
Et je vois le soleil qui s’incline en écoutant Ta voix
Ton combat est à jamais imprimé sur le temps qui y boit
Et Bienheureux ceux qui voient ce que je vois en Toi

Ton amour paternel est une force qui donne confiance en soi
Et Ta lignée a rendu Ton enfance plus douce que la soie
Merci à Toi, grand homme qui a formé de grands hommes droits
Toi qui panses le cœur balafré de l’orphelin pour lui donner joie et foi

Il y’a tant d’années et d’époques que Tu creuses dans la vision
Et dans l’âme des disciples qui ont compris Ta divine mission
Ta profondeur en volonté et exécution est donc une hauteur
Toi l’être enchantés d’humanité, de patience et de profondeur

Un bâtisseur du ciel, un pacificateur de conviction, un grand soldat
Le médecin des assoiffées au servir la Fayda tidjanIya
Jamais Mouhadam ne se proposa un but plus sublime
De restaurer le patrimoine historique de cheikh Ibrahim

Jamais Mouhadam n’a accompli en moins de temps immense
Avec la petitesse des moyens un travail aussi dense
Ta confiance dans les succès et Ta sécurité surhumaine
Ont fait de Toi Maitre un grand restaurateur à la grandeur humaine

Quelle mission fut plus noble que ça, à toutes les échelles
O cheikh Abdou Rahmane, vengeur des profanations du ciel
Je ne sais, tant je loue ses traits d’un ton brûlant,
Est-ce un éloge ou bien un poème surprenant galant !

Je hurle en silence cette douleur si nombreuse
De l’Égypte, cette cité de valeurs et de connaissances
En Mauritanie région bénie ou coule la fontaine de la grâce
Passant par Gambie, Tu restes le joyau de la guidée en tous les sens

Et ceux qui Te suivent, ceux-là seront des gagnants et des pieux
Toi le président d’organisation d’Ansarud-Din au national niveau
Qui bat d’un désir que je ne peux exprimer, ce Cheikh Abderrahmane
De la rénovation de la mosquée à la construction des tribunes

De l’éclairage des cités de Médine et Taïba à l’assainissement
Du carrelage des lieux saints à l’aménagement
Tu T’es frayé un chemin dans la cours du périmètre sacré
Et Tu y es revenu avec des grades élevés de ton bien-aimé.

O Cheikh Abdou Rahmane Ibrahima Niass
Parachuté par la rénovation à Taïba de la maison de la presse
A l’achat de tente et l’agrandissement de la salle de réception
Tu as gagné le prix de Bâtisseur de cette noble faydatique mission

Honneur à Hann Mariste d’héberger ce grand homme qui est
Entouré de compagnons le suivant de près,
L’écoutant, attentionnés, quand il s’exprimait.
Ils se précipitaient quand il leur ordonnait.

Car ils connaissaient la vraie valeur de ce Messager pieux,
Dans ses actes il était, oui, le plus généreux.
Et dans ses attitudes le plus courageux.
Dans ses promesses, connu pour sa fidélité.

Dans ses propos, connu pour sa sincérité.
J’invite quiconque qui voudra voir ses grâces augmenter
Et ses bonheurs éternels de faire de Toi son unique interlocuteur.
Une chose est certaine celui qui aspire à gagner la joie du maitre

Et du Khalif de la Fayda devra impérativement Te suivre.
Je ne cesse de me réjouir de ce privilège plus que mandataire
car cette faveur des faveurs ne cesse de garantir mon existence.
Ces poèmes pour Toi et les ambassadeurs sont mes seules richesses

Qu’Allah ne cesse de les parcourir pour les rendre riches de sens
Qu’Allah ne cesse de demeurer leur seul sponsor et maître. Niass,
Je quémande leur acceptation et leur bénédiction par Ta grâce…

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)