A CHEIKH OULD KHAYRI: Ouvre moi et admets-moi pour que je Te reflète, Ô maître Tu as inondé les saints d’océan de lumière, Toi le saint savant des savants doués de faveurs (Par EL HADJI ABDOULAYE FAM)

A CHEIKH OULD KHAYRI: Ouvre-la-moi et admets-moi pour que je Te reflète, Ô maître Tu as inondé les saints d’océan de lumière, Toi le saint savant des savants doués de faveurs

A CHEIKH OULD KHAYRI

A CHEIKH OULD KHAYRI: Ouvre moi et admets-moi pour que je Te reflète, Ô maître Tu as inondé les saints d’océan de lumière, Toi le saint savant des savants doués de faveurs

Tu as inondé les saints d’océan de lumière,
Depuis Ta naissance en mille neuf cent cinquante cinq
Leur octroyant des nobles secrets qu’ils ont reçus fiers.
Toi, l’un des plus ferrés en science ésotérique islamique

Gloire à Ta mère Sayda Fatoumata Zahra
Qui a été délivré en présence du pole des pôles Barhama
D’une gestation hors norme
Tu as extirpé Tes disciples du cercle des égarés,

Et des incrédules les destinant à préparer,
A œuvrer pour le grand maitre des temps, Barham,
A aimer le savoir et à s’allier avec les bonifiés des hommes.
Je suis resté très éblouis par votre grandeur

Toi le saint savant des savants doués de faveurs
Tu es un savant très expert dans cette voie divine
D’une austérité pure, sûre, sans borne
Tu as renoncé à la royauté de ce monde

Toi qui a déversé le vin des désirs spirituels immondes
Tu es un esprit éminent parmi les esprits
Un sultan des initiés que je glorifie
Un argument vivant, une niche des lumières

De la pure réalité, l’éducateur spirituels des émirs.
Tu es Le compagnon assidu de la parole divine
L’âme de tous disciples fidèles
Dans le chemin de l’éternel dont vous êtes le sel

O Cheikhoul Khayri la bonté bénéfique fine
Tu as pénétré tous les mystères
Toi dont la préoccupation de nuit et de jour sur terre
Tu es une pépite aux parois d’or et de rubis

Qui a participé à tous les apports subis
Qui marche d’un cœur sincère
Sur la voie spirituelle amère
Toi mine de sincérité et de pureté

Le khan qui enlève pour les cœurs la dureté
De Ton origine à la tribu des Idaw ‘Ali des Ahl Al Bayt
Tu fus baptisé Cheikh et reçu la datte mâchée par Baye
Et depuis Tu fus une montée fulgurante qui n’a connu ni arrêt

Ni recul que le temps confirme en valeur, puissance et véracité
Du collège de Rosso, puis le lycée de Nouakchott
Tu as fait un long chemin de formation et Tu as pris note
Dans un muet délire, O être bénie je Te glorifie en mots…

Baccalauréat en poche, Tu T’es distingué comme instituteur
Et conseiller pédagogique à l’académie du Trarza à Rosso
O sublime lumière céleste à la voix qui apaise et rassure
Flamme d’espoir, divin gardien des multitudes trésors

Grace à Toi, s’est dissipé progressivement le noir
Qui verra toute son armée vaincue morte. On crie victoire !
Ame de Baye Niass s’envole dans l’univers, Vénéré Mishri en vol,
Les cœurs attristés dans un émoi par la perte de ces pôles

Dans cette région africaine, Tu fus semé par Lui et Tu germas
Pour étancher la grande soif mahrifale tel un Barhama
Toi la mer d’admiration, Toi le fils de Sidi Ould Khaïry
J’ai vu en Toi ô messager! Des miracles provenant de Dieu,

Des dons qui n’ont jamais été accordés à Tes aïeux,
Que la langue ne peut même pas nommer et cela me hante.
Ô meilleure créature qui refoula les fléaux sous Ta tente,
Aux caractères nobles aux comportements éclairants,

Tu es celui qui ne fut jamais atteint par les faibles croyants,
Car Tu es le détenteur de l’immense grâce de ce matin,
Le maître, l’origine et la fin promis par Barham, le destin.
Je crie, je gémis plaintivement à Ta porte,
Ouvre-la-moi et admets-moi pour que je Te reflète.

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)