A CHEIKH MOUHAMADOUL MOUKHTAR IBRAHIMA NIASS: Tu as changé d’identité de Ton origine prophétique pour renaître dans la oumma, Ta mort est riche car Tu as vécu 75 ans comme Ton père Barhama, Tu es le sincère courrier du Roi…Toi, l’être camouflé, digne fils du digne Calife de Cheikh Ahmed Tidiane et du Prophète (sas)
Je me suis purifié dans l’air supérieur de la sainteté pour Te rendre gloire
Et je Te laisse ces mots comme témoignage de ma visite dans Ton histoire
J’ai senti la netteté de Ton regard, la pureté de Ton souffle tel un soleil du soir
Toi, le fabrique qui produit toutes bonnes valeurs constituant le plus beau miroir
Toi qui T’es redonné des ailes à Médine pour voyager dans des cités mystiques
Aux cieux parés de ces sublimes poèmes que j’ai dédiés aux étoiles faydatiques,
Toi qui fait partie des rares fils dont Baye s’est occupé de l’éducation islamique
L’être de science effacé, orienté vers les âmes têtues du Tchad et de l’Afrique
Tu es une majestueuse lumière à répétition, Toi, fils de Sayda Maïmouna Aïdara
Qui est apparu à l’horizon de la voie lactée pour être un ambassadeur de la Fayda
Tu as changé l’identité de Ton origine prophétique pour renaitre dans la Ummah
Et Ta mort est riche car Tu as vécu soixante-quinze-ans comme Ton père Barhama
Tu as éclipsé les épreuves, dévoilé les bienfaits et procuré la joie infinie
Toi, le maître noble et généreux dont je suis le pauvre serviteur aguerri
Toi, l’homme aux grades glorieux et auguste détenus que par les choisis
Je Te chante car la chanson sous ses belles solennités a vécu dans Tes prairies
Mes vers raclent large les pages de Ta péripétie, car aucune de ses lignes n’est notée
Sans que le tintement de Ta noble lumière ne façonne le cœur de ma sainte pensée,
Ta nature véritable est de briller, O énergie éternelle, O Moukhtar, la glorieuse pureté
L’océan ou nage toutes vertus, l’honorable missionnaire à la frappante luminosité
Tu es un être camouflé Cheikh Mouhamadoul Moukhtar et Tout de Toi nous inspire,
Toi, que personne n’égale en avantage, car par Tes mystères, des artères respirent
Toi, qui efface les peines et guide l’espoir dans sa course dont la bonté est légendaire
Toi, le grand cœur mystérieux, le digne prince de Sayda Maïmouna, la vraie Linguère
Toi, le digne fils du digne khalifat de Cheikh Ahmed Tidiane et du prophète
Tu as fréquenté les saintes rives, Toi, l’homme aux qualités toutes parfaites
Qui a tant de lumières dans son cœur, couvé dans le cercle des favorisés élites.
Toi qui détient le lait mahrifale qui coule à flot qui nous purifie et qui nous tête
Respect à Toi alors qui a occupé nos espaces Cheikh Mouhamadoul Moukhtar
Toi qui a dédié Ta vie à Ton père par Ton comportement qui suinte de Kawthar
Tu es un siège de la sagesse qui a fait les plus grandes universités et les plus rares
Toi l’être au visage d’ange, détenteur de cette lumière sortie des célestes amarres
Reçois ce poème qui est, un mystère dont le lecteur doit chercher l’aboutissement
Car je suis un esprit libre pour des mots justes qui émerge dans l’enivrement
Heureux alors vraiment ceux qui sont éclairés par Ta luminosité en tout moment
Qui ont cerné une fine partie et qui s’incline devant Ton illustre scintillement
Rien n’a pas pu faire ombrage à la lumière qui se dégageait de Tes illustres rives,
Car Tu es le socle d’une cuve remplie de nectar réservée aux éminents convives
Le piédestal des secrets si merveilleux, qui émerge des fontaines qui ravivent
Gloire alors à Toi homme illustre. Cheikh Ibrahim T’a garanti pour que Tu vives
Tu assures la sauvegarde du bienveillant serviteur engagé dans la connaissance
Toi, le défenseur qui assiste ses partisans, le héraut récompensé de clairvoyance
L’être à la grâce céleste et digne révélateur des extraordinaires connaissances
Toi, la douce clarté dont la lumière est pitance et breuvage pour les essences
Celui qui a écarté de mon cœur toutes choses hormis Dieu et même les vices
Tu es Al Moukhtar, le fils nanti de la splendeur par Dieu qui T’a mis à ses services
Ton âme est carrément connectée et intégrée en Baye et Tu as gagné des bonus
J’utilise des figures de style pour vous égarer lecteurs même si je sème des indices
Car on ne peut pas tout dire quoique tout mériterait d’être dit, Maitre sur Toi
Toi, le modèle parfait, le temple lumineux qui éclaire, le sincère courrier du roi
Ton visage dégage une luminosité rutilante nourrie par la source de foi
Toi qui a instauré la paix et la justice partout à travers le monde dans la joie…
Que Ton oreille céleste se fasse attentive au cri de ma muse et de ma prière
Que Ton Mahama dissimulé puisse me garantir ma condition très modeste d’être
Le versificateur de la Faydatidianiya et que Tes innombrables grâces me couvrent
Je termine le poème insatisfait et confesse mon incapacité à chanter Ta grandeur…
Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)