A SAYDA KHADIDIATOU DIAW IBRAHIMA NIASS: Ton nom est hissé en étendard qu’aucune tempête ne peut emporter, Toi, qui a matérialisé les idées célestes, la source fraîche qui nous ouvre la spiritualité…Toi, la sœur de cheikh Arabe, la vraie servante de Dieu qui agit uniquement pour la face d’Allah. Je mouille ma plume pour Te rendre grâce mais comment décrire Ton élégance? (Par le professeur El Hadji Abdoulaye Fam)

A SAYDA KHADIDIATOU DIAW IBRAHIMA NIASS: Ton nom est hissé en étendard qu'aucune tempête ne peut emporter, Toi, qui a matérialisé les idées célestes, la source fraîche qui nous ouvre la spiritualité...Toi, la sœur de cheikh Arabe, la vraie servante de Dieu qui agit uniquement pour la face d'Allah. Je mouille ma plume pour Te rendre grâce mais comment décrire Ton élégance?

A SAYDA KHADIDIATOU DIAW IBRAHIMA NIASS: Ton nom est hissé en étendard qu’aucune tempête ne peut emporter, Toi, qui a matérialisé les idées célestes, la source fraîche qui nous ouvre la spiritualité…Toi, la sœur de cheikh Arabe, la vraie servante de Dieu qui agit uniquement pour la face d’Allah. Je mouille ma plume pour Te rendre grâce mais comment décrire Ton élégance?

Assis sur mon lit, face à la photo du soleil couchant aux rayons lumineux
Qui éclaire mon âme de lumières et d’extases en haut des sommets fastueux
J’espionne Ton jour pour découvrir divinement, comment il irradie
Magiquement, Toi Sayda Ndeye Khadidiatou Diaw Niass, fille de Sifati Zati

Ton nom est hissé en étendard qu’aucune tempête ne peut emporter
Car Tu es avec Ton père là, ou il n’y a pas de mots et de souhaits
Tu as acquis tout honneur et gravi tous les degrés de la sainte grandeur
Toi, qui constitues le miracle le plus grand pour l’homme qui réfléchit

En ces temps sombres, j’ai décidé de Te chanter avec toutes les gloires
Car ma poésie est comme une lanterne qui éclaire le chemin de la vie
De mon âme qui œuvre pour s’assurer que partout dans le cosmos
Des personnes viennent à Ton père et lui rendent une obéissance

Héritière du grand savant, si Tu étais une montagne, Tu serais l’Everest
Toi, qui a matérialisé les idées célestes, idéalisé la vie terrestre de Ton essence
Ton plus beau présent est dans Ton amour inconditionnel et sans cesse
Envers Ton père, cette pure clarté qui séduit, cette vaste mélodie céleste

Toi, qui est resté humble face à l’immensité de l’univers et de Tes sciences
Toi, la fille de Sayda Fatou Ndiaye Daoud, cette femme à la sainte classe
Qui T’a ouvert la vie en brisant le mur derrière lequel Tu étais rétractée
Toi que Mawlana Cheikh Ibrahima Niass a semé les graines de la destinée…

Ton existence est devenue une œuvre d’art mais aussi un hymne à l’allégresse
Toi, la source fraiche qui nous ouvre à la spiritualité suprême et majestueuse
Un cadeau divin qui nous arrose d’une liqueur salvatrice et charitable pour tous
Tu es la sœur de Cheikh Arab, ce prince des beaux gestes, riche en grâces

Toi, le reflet du bien aimé Baye Barham, une flamme divine qui nourrit
Tu es né en Mille neuf cent soixante, ère où l’ardeur de la liberté a fleurit
Toi, Sayda Khadidiatou, la grâce céleste, la pureté qui ne s’invente pas
Ta voie frappe convenablement bien et à cris redoublés sur la Ummah

Et l’exquise de Ton sourire enchanté apparait tel un voile castré et nacré
Car avec Toi Maman, les sources de la vie vont épancher leur flot sacré
Toi, la vraie servante de Dieu qui agis uniquement pour la face d’Allah
De l’école de Rabbani, aux saintes mains de Sayda Rokhaya Niass, la diva

Ton cœur est immunisé et parfumé de pétales de pardon par Barhama
Tu fus mariée à un choisi mauritanien du nom d’Ahmadou Ould Didi
Avec lui, certes l’Espérance éternelle élève tous ses accords en harmonie
Et Tu fus le Tarbiya des saintes mains de Cheikh Mouhamadoul Nazir

Ce sauveur tant pleuré, cette beauté de l’univers qui avait un éclair sourire
Je mouille ma plume pour Te rendre grâce mais comment décrire Ton élégance?
De Mauritanie au Sénégal après la mort de Ton mai, Tu battis une justice
Éternelle, Toi, qui fus une lumière intelligente, une étincelle intellect

Dieu Te choisit alors un nouveau conjoint du nom de Maktar Seck
Ce dévoué fils d’Aladji Baba Seck le compagnon de Baye à la sainte baraka
Ce souverain des beaux gestes au pouvoir si fécond de la FaydaTidianiya
Dans Tes nobles yeux j’apprends le dévouement, l’humilité et la gentillesse

Toi, la boussole intelligente, la femme au regards de lumière divine
Et Tu T’installas à Sam sous l’autorité de Cheikh Mouhamadoul amine …
Je contemple Tes astres qui renforcent silencieusement les morceaux
De l’édifice architectural de mon amour pour explorer Tes rues tel un saut

Daigne jeter un indulgent regard de bonté vers mon humble personne
Toi, qui es une promesse accomplie à l’émanation qui déploie des antennes
Toi, la femme pieuse, citoyenne des firmaments, je parle à cœur ouvert
Laissant mon âme jubiler à sa pensée, j’ai décidé alors de Te flagorner

En ouvrant mes yeux divins pour Te scruter et vanter Tes nombreux efforts
Merci à cette nouvelle espérance, cette charmante lumière de la journée
Ton fils, héritier du flambeau,ce Moustapha Seck qui m’a beaucoup orienté
De la sous-région à l’international partout, Ta gloire environne et couronne
Toi, la lumière en forme humaine connectée au maitre des saints de Médine…

Source: Faydatidianiyacom – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)