Le caché dans le découvert, la source sucrée des continents, l’océan de la réalité immense
Ô Barham, la formule de Dieu manifeste,
D’une bouchée, j’ai gouté des choses célestes,
Et j’ai perdu mon cœur par l’effet de l’amour.
Les mois changent, le temps me hante,
Tout se renouvèle ; je reste le même et me lamente
Et le vide m’environne tous les jours.
Ô Barham, le porte-drapeau de la fayda,
Toi Maître le fils du respecté El Hadji Abdallâh
Écoute la voix de mon cœur qui soupire,
Qui se lamente qui s’étonne qui t’admire.
Tu es maître, la charité souveraine pacifique,
Qui a rempli mon cœur de gloire et d’éthique.
Ô Barham, le purificateur de la sunna,
Va devant je te suis les yeux pleins de larmes,
Toi le temple du savoir le flambeau de l’islam,
Semas le rubis, la perle gnostique à pas.
Je suis jeune maître renaissant et vous aime
Toi qui m’as fait connaitre ma personne suprême.
Ô Barham, l’océan de la réalité immense,
Tu es l’exégèse en soi celui dont la jurisprudence,
Et la grammaire te voit océan dans leur discipline,
De même que le sens, les langages, la rhétorique
Ta réputation est plus haute que les étoiles antiques,
Symbolique de Diawssa de Dabrànes.
Ô Barham, la source sucrée des continents,
Je t’adore hors du temps sans contretemps
Et je suis jaloux, Maître de mes maîtres
Qui ont vécu près de toi sauvés pour sauvés ;
Qui se sont nourris de ta gloire chère.
Toi le condensé des grâces qui nous ont lavés.
Ô Barham, le caché dans le découvert,
Comment ne pas proclamer notre béatitude grossière
Pour toi. Toi qui malgré le rang a voulu vivre,
Et être avec nous. O gloire à toi le mérité qui chavire,
Mon cœur. Toi notre don le plus précieux
Le favori des favoris, l’érudit des lieux.
source : faydatidianiya.com – El Hadji Fam