(Vidéo) Après une trajectoire de 26550 jours : Le soleil qui apparut à TAIBA NIASSENE en 1900, atteignit le zénith en 1929 à KAOLACK et se coucha en 1975 à LONDRES

hopital saint thomas baye niass engleterre
Cheikh Ibrahim Niass

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Cheikh Ibrahima NIASS fut un homme aux qualités exceptionnelles. Personne ne l’égala par son érudition, par la richesse de son œuvre littéraire, par les pays visités dans le seul but d’y répandre l’Islam, par les autorités étrangères qu’il rencontra, du Président gambien Sir Daouda DIAWARA au Premier Ministre chinois Zou En Laï en passant par NASSER l’Egyptien, NKRUMAH, le Ghanéen, DE GAULLE, le Français…

 

Musulman clairvoyant et conséquent,tidiane convaincu et convaincant, apôtre de la paix…, Cheikh Ibrahima NIASS fut incontestablement la plus grande figure de l’Islam connu et reconnu par tout le monde musulman du XX siècle. Incontestablement, il est le Cheikh El Islam.

Au-delà de la connaissance de Dieu qui n’est plus que l’apanage de certaines voies Soufies, l’école de Baye offre en plus l’exclusive particularité d’initier à la connaissance des Qualités divines (Çifât), de Noms (Asmâ) et des Actes (Af’âl). Elle donne la possibilité d’accéder à la connaissance parfaite du Prophète (SAW) depuis son secret (sirru) occulté dans la quiddité divine (Hâhût), jusqu’à sa réalité terrestre (nâsût).

Elle permet l’accès à la connaissance du Prophète (SAW), dans sa dignité supra humaine et supra temporelle, cristallisée dans la réalité de Muhammadu Rassûlul-Lâhi qui préexiste à la manifestation et subsiste après l’occultation de Muhammad Ibn ‘Abdallâh. Cette réalisation suscite un amour ardent et passionné de Lui, de sorte qu’il devient perceptible qu’il est la manifestation, le grand voile (hijâbul a’zam) placé entre Dieu et la Création ; l’isthme sans lieu (barzakh) entre l’intérieur (bâtin) et l’extérieur (zâhir), entre Dieu et les créatures.

 

 

Son ubiquité et son omniprésence ne souffre d’aucune conjoncture sinon aucun orant dans la récitation du Tachahud ne prononcerait la formule « Assalâmu ‘alayka ayyuhân-Nabiyyu… » (Salue sur Toi, ô Prophète…). Le pronom Ka en arabe traduit une actualité, une contemporanéité, une présence mais jamais une absence de l’interlocuteur.

 

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Source : faydatidianiya.com