A CHEIKH ABABACAR NIASS DIT BAYE MBAYE M.C NIASS: Tu es celui par qui est né le dévouement à son état le plus achevé, qui illumine et éclaire des vies. Toi, le fidèle défenseur de la faydatidjiani, le digne fils de l’exceptionnel maître au parfum spirituel qui charme, le soldat de son père qui a convaincu le mal avec amabilité… ( Par le Professeur El Hadji Abdoulaye Fam)

A CHEIKH ABABACAR NIASS DIT BAYE MBAYE M.C NIASS

A CHEIKH ABABACAR NIASS DIT BAYE MBAYE M.C NIASS: Tu es celui par qui est né le dévouement à son état le plus achevé, qui illumine et éclaire des vies. Toi, le fidèle défenseur de la faydatidianiya, le digne fils de l’exceptionnel maître au parfum spirituel qui charme, le soldat de son père qui a convaincu le mal avec amabilité…

J’écris ces vers qui me sont dictés d’en haut pour Te rendre grâce,
Pour T’honorer et magnifier avec un amour divin Tes traces
Toi, Serigne Mbaye Niass, le cœur qui seconde nos cerveaux
Le Général de Cheikh Ibrahim, la voix qui dissipe nos maux

Toi, le réformateur de sa flamme, son emblème et sa sainte main
Toi, la créature élevée par Dieu selon sa convenance, c’est divin
Je suis honoré d’un legs de T’avoir comme maitre, je T’assure
Toi, le fils de la sainte Sayda Aminata Sow, ce cadeau de la créature

Qui a préparé Ta venue au monde dans les terrasses des cieux ornés
En Ton honneur, peignant ainsi d’un voile divin l’univers agrémenté.
Tu es celui par qui est né le dévouement à son état le plus achevé
Toi, qui a respecté les règles et commandements du grand paraclet

Tu es le petit-fils adulé de Lat Dior, Toi, l’ami choyé des jeunes harifs
Qui naquit en mille neuf cent soixante-quatorze dans la région de Thiès
Et l’honneur était immense de T’accueillir au nom et choix du Khalife
Et Tu portas le prénom de son frère Ababacar dit Serigne Mbaye Niass

Toi, qui a ouvert Ton cœur à l’aventure et plus rien n’est jamais pareil
Du Daara d’Abdallah Rabbani à Médine à Boubacar en Mauritanie
Tu as maitrisé le saint coran, Toi le fidèle défenseur de la faydatidianiya
Sanctionné par le baccalauréat qui T’a permis de prendre le céleste vol.

Je récapitule Ton histoire et veut en suivre les exemples dans mon esprit
Pour garder ce trésor dans ma mémoire grâce au résumé que Tu as fourni
Ton vol atterrit en Égypte le temple du savoir autour duquel tout gravite
Tu fus reçu à la grande université dans sa noble section du droit islamique

Toi, le digne fils de l’exceptionnel maitre au parfum spirituel qui charme
A la grandeur qui se reflète sur son visage béni, ce noble et grand par l’âme
Ainsi comme la rivière paradisiaque, Tu illumines et éclaires des vies
Et tel un océan Tu comble des âmes en attente, Toi la pureté qui refleurit

De par Ta parole aiguisée qui résonne directe sur les âmes purifiées
Toi, le disciple de Cheikh Mahi Cissé, la mutation de la joliesse suprême
Pour Toi Grand Maitre Mbaye Niass, je prends ma plus gracieuse plume
Armé de l’étendard vert de la vive et divine voix faydatique pour Te chanter

Toi, le maitre des bien guidés, le ministère des forces armées faydatiques,
Tu as aimé Tes disciples d’une affection forte de l’Europe en Afrique
Toi, l’embarcation de Cheikh Ibrahim qui dans les soutes comble les cœurs
Le méritoire prince, l’humble serviteur de la Fayda, l’honorable bienfaiteur

Qui éveille les mentalités par ses riches savoirs et qui nourrit les cœurs
Tu es le fondateur de Chababoul Fayda dont les codes d’accès sont connectés
A l’éminence de Ta haute moralité et la précellence de Ton grandeur élevée
Tes Chababs sont célestes car sont venus au secours de l’islam et de la Fayda

Malheur à ceux qui ont tenté de Te liquider, grand fut leur étonnement
De voir Dieu, élever Tes pouvoirs alors béni soit, Maitre Ton enfantement
Tu es Cheikh Mbaye Niass, le grand diplomate et le chantre de la paix
Le soldat de son père qui a convaincu le mal avec amabilité

Nul ne peut prétendre Te connaitre mieux que Baye, lui-même
En des codes secrets, je Te révèle dans l’union de mes vers suprêmes
Et je m’agenouille devant Ta grandeur alors déverse sur moi Ta grâce
O bonté incommensurable, souffle purificateur, la grande espérance

Accepte ce poème, éclaire mes nuits. Gloire et pureté éternelle sur Toi
L’exceptionnel être noble par l’âme, guide grand par le cœur et la foi…

Source: Faydatidianiya.com – EL HDJI ABDOULAYE FAM (MA PLUMUNE LUMIERE)