A CHEIKH ABDOUL AZIZ NDIAYE: De Kaolack à Medina Gounass, tu as projeté les faisceaux de la lumière islamique, D’une grâce que tu as déjà acquise pour tout l’univers… (Par El hadji Abdoulaye Fam)

A CHEIKH ABDOUL AZIZ NDIAYE: De Kaolack à Medina Gounass, tu as projeté les faisceaux de la lumière islamique, D'une grâce que tu as déjà acquise pour tout l'univers... (Par El hadji Abdoulaye Fam)

A CHEIKH ABDOUL AZIZ NDIAYE: De Kaolack à Medina Gounass, tu as projeté les faisceaux de la lumière islamique, D'une grâce que tu as déjà acquise pour tout l'univers... (Par El hadji Abdoulaye Fam)

De Kaolack à Medina Gounass, tu as projeté les faisceaux de la lumière islamique, D’une grâce que tu as déjà acquise pour tout l’univers… (Par El hadji Abdoulaye Fam)

Je viens vers Toi assumant mon choix.
Avec mon cœur qui s’est fendu car foudroyé par la foi
Et j’entends Ta voix chantonnant les dits du Prophète,
Avec des illustrations à portée d’intelligence parfaites,
De Kaolack à Ton Medina Gounass, Tu as projeté les faisceaux

De la lumière de l’islam et de la Faydatidianiya dans tous les réseaux
Je réfléchis et je sens ma plume qui s’active
Les mots se réincarnent sur la feuille de blancheur vive
Je me demande alors qui écrit, O Cheikh Abdoul Aziz
Je ne vois aujourd’hui que Ta personne et je la vise

Je viens vers Toi, disciple de Barham
Toi le grand fervent soufi et guide Tidiane suprême.
Un maître dans tous les arts de l’éducation islamique,
Elégant dans sa mise, raffiné dans son geste charismatique.
Toi qui a permis, par la Grâce du Tout puissant à la parole

De Mawlana à Dakar de se vivifier et de prendre son envol.
Je viens vers Toi, fils de SEYDA Nancy Ndour
Qui a vu en grandeur nature, à titre exceptionnel et exclusif l’amour
Toi qui, à Médine a goûté au Mahrifa dans toutes ces saveurs,
Avec Mouhammad Nazir, cette vallée ouverte au bonheur.

Pour se parachever avec le véridique Mouhamadoul Amine
Envelopper de ce drap miséricordieux, Tu es une voie divine.
Et mes genoux tamponnant, Cheikh Aziz le seuil de Ta demeure,
Qui ouvre vers ce monde bleuté faydatique et je T’adore.
Toi, le ressortissant de l’école de Cheikh Ibrahim Niasse,

La porte d’entrée des vœux dressés sur la table du Nectar cacheté
Parée de pierres sacrées, dans les terres impénétrables confinées
Tu es en réalité la fierté d’un peuple qui rend grâce au Seigneur,
D’une grâce que tu as déjà acquise pour tout l’univers
Tu es en réalité la beauté dans sa plus belle apparition

Laisse-nous alors contempler Ton grade d’anobli de Ta Mission
Tu es ce prince des iles qui n’a point besoin de couronne,
Ni de trône car ton cœur Ndiaye est un trône
Où est incrustée Ta foi pure en Ton Maitre Barham
Je jure par Lui, que tu as obtenu de lui des faveurs suprêmes

Je viens vers Toi, Cheikh Abdoul Aziz Ndiaye
Et je m’incline face contre terre pour Toi ‘’Gaïndé Ndiaye’’
Je T’ai chanté Toi dont, cette créature n’aurait pas pu dire la louange
Si la louange ne lui était pas venue tout d’abord d’Allah et des anges.
Si le sucre était venu à connaitre la saveur de votre entendement,

Il se serait coagulé ou fondu de honte sans discernement.
Toi le signe de Baye qui a marqué d’une empreinte indélébile
La voie du don et du pardon, un corps en mouvement mobile
Tu as bravé les péripéties les plus atroces jusqu’en prison
Pour louer la grâce et la noblesse de la Faydatidianiya et tu as reçu des dons

Ô Maitre aide moi à poser mes pas dans le cœur dévoilé
De l’herméneutique de Ta sainteté que Tu as voilée
Je serai de ceux-là qui iront à Ta rencontre sans sandales
Je marcherai tout le long de Tes grandes accès
Scandant Ton nom de fidèle disciple du Noble Envoyé
Ô Sifati Zati, j’atteste par cette poésie en prescription
Que nul à part Toi ne saurait créer cette belle fusion…

Source: Faydatidianiya.com – El hadji Abdoulaye Fam Ma plume, une lumière