A CHEIKH CHERIF OUMAR ABDEL AZIZ: O Cherif, Tu es un esprit vraiment noble qui nettoie les scories des âmes, je chante Ta gloire, Toi qui honore la belle cité de Sifati Zati…Toi, le digne légat en côte d’Ivoire de la grâce Barhamienne (Par le Professeur El Hadji Abdoulaye Fam )

A CHEIKH CHERIF OUMAR ABDEL AZIZ

A CHEIKH CHERIF OUMAR ABDEL AZIZ: O Cherif, Tu es un esprit vraiment noble qui nettoie les scories des âmes, je chante Ta gloire, Toi qui honore la belle cité de Sifati Zati…Toi, le digne légat en côte d’Ivoire de la grâce Barhamienne 

Aux souvenirs endormis, Tu portais honorable, un prénom composé
Faisant le djihad, brandissant l’épée, administrant des communautés
Aujourd’hui Tu as préféré la route des étoiles et le monde des émanations
Aux descendances infinies pour porter le nom affilié à Ta noble mission

Cherif Omar Abdel Aziz, et voilà ma plume qui se prosterne devant Toi
Dans la joie, dans la foi et sans aucunes lois pour Toi, O mon digne roi
Toi, pure symphonie qui résonne au souffle de paix et de scintillement
Tu es né le dix juillet mille neuf cent soixante-huit à la ville d’Abidjan

De Sayda Mariam Sidibé et Cherif Abdel Aziz, un orateur international
Diplômé des sciences sociales, ce pilier de la Fayda à la vie triomphale
Un joyau de la guidée à la présence immense au courage manifeste
Toi, digne légat en Côte-d’Ivoire de la grâce barhamienne céleste

Qu’on me soit témoin que Tu es un symbole de la miséricorde en ces temps.
Jadis les choses allaient au rythme de ma muse et du bourdonnement
Alors que maintenant la joie abonde sur mon être grâce à Ta personne
Ainsi j’ai compris que les jours n’ont pas changé mais ils sont différents

Car, Ton aura brille sur la fenêtre et du coup voici ma preuve vivement
Je chante Ta gloire, Toi pure beauté qui honore la belle cité de Sifati Zati
Et qui honore son maitre Cheikh Imam Assane, cette lumière qui guérit
Tu es féconde en lumière et toute oreille Te savoure en connaissance

Toi, l’incarnation de la pureté et de la sainteté, un flot riche en sagesse
O chérif, Tu es un esprit vraiment noble qui nettoie les scories des âmes
Toi, palpitante étoile qu’Imam Assane Cissé a dévoilé de manière suprême
De Tes études primaire en Côte d’Ivoire ensuite secondaire au Ghana

Tu as été allumé spirituellement par l’éminent petit-fils de Barhama
O lumière de Cheikh Ibrahim, digne missionnaire et parfait visionnaire
Avec Toi, la lumière s’accroit et l’ombre s’abaisse, c’est beau de Te voir luire
Toi, le réalisateur de Nasrul-ilm au Burkina, Mali, Comores, Madagascar,

Et Gabon, Toi le disciple aguerri, l’asile et le recours des jeunes phares
Toi le bâtisseur du complexe scolaire Cheikh Ibrahima Niass à Koumassi,
Doté de mosquée, radio, salle de conférence et des résidences pour les amis
Tu as tant d’amour pour Cheikh Ibrahim que rien ni personne ne saura

Te convaincre que le paradis est ailleurs car Tu es le gardien de l’oriflamme
Le charme de Ton élégance a fait de Ton corps un concurrent de Ton âme
Ton maître immunisé a reçu autant de critiques que Tu n’en recevras
Donc prépares-Toi à supporter et nage dans le beau et l’utile en Allah

Tu es un bel horizon des nouvelles pensées qu’imam a infusé la lumière
Tu es Cheikh Cherif Oumar Abdel Aziz le Khalif de la Faydatidianiya en côte d’ivoire
Tant Ta personne façonnée est en phase permanente avec Ton destin
Ton beau regard en amande, sur moi m’as jeté dans un étirement félin…

J’ai noirci des centaines de pages que personnes ne lira jamais peut être
Mais j’écris lumière avec lumière vers les lumières pour délaver le noir
Je suis Abdallah le poète de la Faydatidianiya qui s’évertue vers le droit chemin
Alors prier pour moi, pour la confrérie pour que Dieu éclaire nos destins

Toi qui a été nommé deux semaines avant la disparition d’imam Assane cisse (rta)
Tu es noble par Tes qualités, noble dans Tes actes et bénie par les mânes
Je remercie Ton fidèle et sincère disciple Abdul- Malick Gnangoran Bérenger
Cette niche de Ton secret de la vie d’hier et d’aujourd’hui, lui qui est gratifié…

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM – LE POETE DE LA FAYDATIDIANIYA