A CHEIKH OMAR FATY DIALLO NIASS: TU FAIS PARTI DES DIX PREMIERS INITIÉS AU TARBIYA, TOI LA FONTAINE DE CLÉMENCE, L’ÉRUDIT HORS PAIRS, UN MÉDECIN CÉLESTE, TOI L’HOMME A LA VOIX SUAVE, LA FIERTÉ DU PEUPLE, TOI L’HANDICAPÉ OPTIQUE DEVENU FORMATEUR ( PAR LE POÈTE DE LA FAYDA MA PLUME UNE LUMIÈRE)

A CHEIKH OMAR FATY DIALLO NIASS: TU FAIS PARTI DES DIX PREMIERS INITIÉS AU TARBIYA, TOI LA FONTAINE DE CLÉMENCE, L'ÉRUDIT HORS PAIRS, UN MÉDECIN CÉLESTE, TOI L'HOMME A LA VOIX SUAVE, LA FIERTÉ DU PEUPLE, TOI L'HANDICAPÉ OPTIQUE DEVENU FORMATEUR ( PAR LE POÈTE DE LA FAYDA MA PLUME UNE LUMIÈRE)

A CHEIKH OMAR FATY DIALLO NIASS: TU FAIS PARTI DES DIX PREMIERS INITIÉS AU TARBIYA, TOI LA FONTAINE DE CLÉMENCE, L’ÉRUDIT HORS PAIRS, UN MÉDECIN CÉLESTE, TOI L’HOMME A LA VOIX SUAVE, LA FIERTÉ DU PEUPLE, TOI L’HANDICAPÉ OPTIQUE DEVENU FORMATEUR ( PAR LE POÈTE DE LA FAYDA MA PLUME UNE LUMIÈRE)

Me voici honoré de Te chanter, Toi la flamme sacrée qui illumine la voie
Qui as navigué sur les eaux de la Fayda avec Cheikh Al islam dans la foi
Et Tu versas des larmes sans savoir pourquoi car Ton cœur était dans la joie
Tu fais partie des dix premiers à être initié au Tarbiya à la cité de Kocci

Ainsi mon cœur est sous le charme de Ta sublime personne aux rives bénies,
Toi, le fils d’Amath Maty Niass, demi-frère d’El hadji Abdoulaye Niass
Tu es une fontaine de connaissance qui illumine les cœurs d’agréments
Ta vie est toute bienfaisance, Toi, dont le regard divin dissipe l’inconscience

Un cadeau précieux, un exemple à suivre, O Cheikh Omar Faty Diallo Niasse
Toi, la perception qui nous unit dans ce contexte en ces séances de grâces,
Qui nous inspirent un bonheur inaltérable, l’essence de notre existence.
Tu es en vérité le grade que les hommes de foi portent et leur secret caché.

Toi qui a créé les conditions de l’ascension de l’homme par le Zikr affiché
Tu es né en mille neuf cent douze à Niassene Walo, département de Nioro
Et là, imbu Ton cœur bat en élan d’adorateur puisant dans le divin marigot
Scrutant Tes mystères qui me noie, Je suis mon chemin sans crainte vers Toi

Mont du savoir, qui s’est affaissé et qui ouvre ce monde faydatique en émoi
Rougeole missionnée sur Toi, Tu perdis la vue et reçu un éventail de grâces,
Car Tu as assimilé et maitrisé le saint coran grâce à Ta mémoire prodigieuse
Des mains d’El hadji Abdoulaye Niass à celle de l’initiant Abdou Maty Thiam

Ton existence fut versée après en entièreté à l’éternelle bannière de Barham
Tu as écouté, Tu as retenu ainsi Tu fus initié au rythme de Ton endurance
Toi, l’homme à la voix aimable, suave et agréable qui tenait en haleine la masse
Qui a animé tous les Gamou de Baye, cette quintessence de la lumière des pôles

Qui a déclenché le mystère qui sommeillait dans Ta poitrine jusqu’aux pôles
Tu fus un saint homme hors-pair, Toi l’auteur de ‘’Barhama Bahoune wa Rahoune’’
Tu es un érudit hors pair, un médecin céleste, un grand formateur habituel
Toi, l’ami de Serigne Aliou Cissé, de Serigne Mbaye Niass de keur Madiabel

D’El Hadji Abdoulaye Ibrahima Niass, de Cheikh Omar Touré de Ndoffane
De Thierno Al Hassane Dem, d’El Hadji Omar Rokhy Gadji de Djolofféne
Ainsi je jure par Allah, que Tu as obtenu d’eux, des faveurs qu’aucun être
N’obtiendra ni aujourd’hui ni demain, ni jamais ! O repère de notre repère

Tu es l’illuminé qui répand partout les trésors de la miséricorde du ciel
Toi Mame Omar Faty Diallo, dont la vie est dissoute dans la vie du Maître
Tu es en réalité la fierté d’un peuple qui rend grâce au Seigneur de l’univers,
Qui a mené une vie pleine et ardente au service d’une cause à laquelle

Tu T’es donné sans réserve, le cœur dévoré d’envi de ces délices d’extases
Tu as conquis les âmes par Ta muse si bien taillée, Toi, la pureté définie
Tu T’es éteint au mois d’août de l’année mille neuf cent quatre-vingt-seize,
Reposant ainsi à Niassene Walo derrière Taïba, la cité du père de Mame Baye

Tu nous as laissé un héritage prodigieux et de nombreux disciples accomplis
Qui se distingue dans cette noble voie si bien tracée comme Serigne Ali Ndiaye
Mame Demba Thiam, Mame Baba Thiam, Cheikh Modou Diaw, Omar Diassé
Le ‘’ Niominka qui n’a jamais péché de poisson’’ que Tu as divinement hissé

Et qui a mené les cœurs des croyants assoiffés vers l’immense océan d’Allah
Toi, l’handicapé optique devenu formateur, par la volonté du Houtbou Barhama,
Qui T’a élevé à tous les égards, à tous les honneurs dans l’héritage du mystérieux
Ton profil est le bien dont le rayonnement ne souffre d’aucune contestation ici

Tu as gagné le trophée des infirmes visuels qui se sont abandonnés à Dieu,
Cette étoile que Tu demeures est indescriptible aux yeux des grands soufis
Tu as émerveillé plus d’un, lors du Gamou de Dieupeul que Baye T’avais confié
Toi, le témoin du passé de Tes pères qui puise sa source de la surface codifiée

Toi, dont Barhama a nourri le cœur et dont le cœur nous nourrit jusqu’au bout
Je Te glorifie avec un cœur chatouillé par l’amour depuis Kaolack, ma cité natale
Car Tu es témoin de son temps, témoin de sa noble vie, de son œuvre colossale,
Lègue-moi Ton haleine, gratifie-moi de dons et béni moi O serviteur du Houtbou…

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)