A CHEIKH OUSMANE DIAO: Tu es le socle d’un mystère intégré dans le cœur de l’histoire politique, sociale et culturelle de la Fayda, Toi, qui est debout, drapé de Mahamas, Nioro Te chante dans sa version supérieure, Toi, l’être à la communauté muette comme une tombe…
Tout autour de Nioro, des lumières scintillent pour se rappeler d’une journée
Spéciale. Cette journée de mille neuf cent soixante-quatre ou Toi étoile, Tu es né
Allumant une lueur qui a brillé au fond des cœurs des locataires de Keur Bano,
Toi, qui porte la parole de la Fayda en Toi, immuable et parfaite, prince des Diao
Alors heureux de Te voir occuper leur cœur et bénissant avec chaleur leur chœurs
Toi qui est debout drapé de Mahamas, Nioro Te chante dans sa version supérieure
Toi, Cheikh Ousmane qui a donné la chance à ces âmes sans occulter leur morale
Toi, dont le cœur est blindé et parfumé de pétales de pardon, Toi, le vrai disciple
Et voilà mon âme qui voyage vers Toi, noble possesseur de sublimes émanations
Toi, le prince de paix, le conseiller admirable qui fait frémir les cœurs à l’unisson.
Sur Ton épaule un pouvoir est donné et dans Ton cœur l’esprit pour pardonner
Toi, l’homme des révélations rares qui a transmis la parole par sa notable capacité
Tu es ce victorieux qui a posé la Fayda sur la voie de la foi et du rêve des dons meilleurs
Reçois alors favorablement les paroles de ma bouche et les sentiments de mon cœur,
Toi, Mouhadam de Cheikh Mouhammad Nazir, installé sur la marche de la précellence
Et qui est très intégré dans le cœur de l’histoire politique sociale et culturelle de la Fayda
Toi, que le nom est hissé en étendard qu’aucune tempête ne peut emporter, O éminence
Toi, qu’aucun Maitre ne foulera la dignité, eux qui ont préféré le désordre loin de l’éclat
Toi, qui sert la Fayda, qui loue Baye, qui a la prédisposition d’enseigner avec subtilité
Écoute chanter vers Toi, la voix de la Fayda, cristalline et vivante en cœur d’immensité
Et douceurs odorantes, cette voix de cet amour qui est un code de la divine clémence
Toi Maitre, qui a sur ordre du défunt Khalif Cheikh Ahmed Dame Ibrahima Niass
Réfectionné la noble maison de Cheikh Ibrahima Niass à Medina en deux mille sept
Reconstruit la célèbre zawiya de Kocci et le Boustanou Harifina en deux mille huit
Tu as rêvé de Baye et la suite Tu as vu Cheikh Mouhamadou Nazir à Néma
Alors commença une belle rencontre divinement scellée pour la face d’Allah
Tu l’as aimé d’une affection très sincère, ce noble guide, beauté des univers
Qui a rempli les espaces de Ton cœur d’une flamme claire,
Toi, qui a la notable capacité à transmettre bellement la parole de l’émanation
L’homme qui a servi dignement tous les khalifes avec rigueur et détermination
Toi, qui est d’une modestie légendaire doté de valeurs humaines exemplaires
Tu es le socle d’un mystère, si merveilleux, qui coule de source jusqu’en Guinée
Toi, enseignant bénévole à l’école El hadji Abdoulaye Niass, temple des temps codés
Tu es le guide moral de la Jamyatou Fityaanou Sitkhine, remplie de nectar réservée
Regroupant les sympathisants et disciples du Sénégal, Gambie et des deux Guinées
Ton Hitma est le cordon sacré qui Te lie au réceptacle des confidences de l’Exalté
Tu as implanté des Daaras et écoles partout dans la sous-région jusque dans les vallées
Toi, qui gère plus de dix mille élèves dans la sous-région, disciples et éminents convives
Leur inculquant l’érudition de Médine sous le regard admiratif de l’homme qui ravive
O Abdou Barham Diao, Toi, la flamme sacrée, Tu es d’une modestie légendaire
Toi, qui a créé les conditions de l’ascension de l’homme par le travail et le Zikr,
Je suis venu humé Ton vent frais aux airs sains que j’explose en mots comme une bombe
Avec un éventail de grâces au rythme de Ton endurance et Ton amour immodéré
A Cheikh Ibrahima Niass, Toi, l’être à la communauté muette comme une tombe
Et qui sont en Mahrifa pleine se qualifiant ainsi pour le trophée des soumis à Dieu
Toi, la quintessence de la lumière des pôles et l’essence des temples de la beauté.
Ta noble figure s’est gracieusement frottée à cette armure sainte protégeant les cieux
Toutefois mes mots dressés en épée royale pour Te louer manquent de souffle vital
Alors je m’en vais remercier El Hadji Ndiaye, ce serviteur sincère de Ton piédestal
Un dévoué à la cause de Barham, qui m’a ouvert Tes canaux avec un aveu élogieux
Toi dont la primauté s’avère indubitable aux yeux d’homme doué d’intelligence, sieur .
Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)