Baye Niasse la porte ouverte de tous les temps et de ceux qui souhaitent accéder à l’Enceinte scellée de Dieu

Baye Niasse la porte ouverte de tous les temps et de ceux qui souhaitent accéder à l’Enceinte scellée de Dieu

baye niass Connaissance Divine
Cheikh Ibrahim Niass

Baye Niasse la porte ouverte de tous les temps et de ceux qui souhaitent accéder à l’Enceinte scellée de Dieu

[Cheikh Ibrahim Niasse], C’est le Cheikh – le Maître – dans toutes ses dimensions. [C’est le maître accompli dans toutes les charges afférentes aux fonctions d’un maître : maître de Coran, des sciences islamiques classiques, auteur d’ouvrages, éducateur spirituel, éducateur par le comportement quotidien dans la famille, dans le travail et dans l’adoration]. 

Il est le porte-parole de son temps, la lumière de son époque, façonnée d’un moule unique (incomparable), le lieu focal du regard divin parmi les créatures, la porte ouverte de ceux qui souhaitent accéder à l’Enceinte scellée de Dieu, l’unique de son siècle dans la science et dans la religion, le maître de son moment dans l’éducation spirituelle (tarbiyya), le symbole des bien dirigés, le sceau des gnostiques du quatorzième siècle de l’Hégire.

Il est la beauté des jours et des nuits, la preuve des gnostiques (connaisseurs de Dieu) remarquables, la lueur de la communauté muhammadienne, le défenseur de la voie ahmadienne, ibrahimique, la pure (il s’agit là de la voie tijaniyya conforme à la foi pure (hanîfa) du père des croyants, le prophète Ibrahîm), la crème de ses hommes majestueux.

Il est l’aube des sciences et des connaissances, la somme des deux mers des sagesses et des [connaissances], la citadelle imprenable, la grotte élevée hors de portée, la perle de la couronne des nobles véridiques, la perle centrale du précieux collier des pôles hors pairs, le porteur du drapeau des honneurs parmi la créature, le rassembleur des sciences dispersées parmi les grands savants çufi de la communauté, du premier au dernier.

Il est doué des beaux caractères et des saintes qualités morales muhammadiennes. Il est la limite des sciences émises par la Vérité Qui Gratifie [haqqâniyya et wahbiyya], des connaissances divines issues de la miséricorde de Dieu [rahmâniyya et rabbâniyya] ; station qui ne saurait être décrite même avec prolixité et loquacité, par la simple grâce et la faveur de Dieu.

Source : faydatidianiya.com