Chronique d’un « Talibé » Le goût spirituel des ‘ârifs diffèrent mais ne font allusion qu’à une seule et unique chose.

baye mare chronique

 

وقال أيضا رضي الله عنه: وَأَمَا الْعَارِفُونَ فَأَذْوَاقُهُمْ مُخْتَلِفَةٌ وَإِشَارَاتُهُمْ إِلَى شَيْءٍ وَاحِدٍ، وَمَعَ ذَالِكَ إِذَا جَلَسَ الْعَارِفَانِ يَتَذَكَّرَانِ فِي الْمَعَارِفِ فَكُلٌّ يُكْشَفُ لَهُ عَنْ حَضَرَةِ الْغَيْبِ مَا لاَ يُكْشَفُ لِغَيْرِهِ. وَذَالِكَ بِبَرَكَةِ اجْتِمَاعِ نُورِهِمَا

 

 

Les ‘ârifs ont des goûts spirituels différents mais se référant tout de même à une seule et unique réalité. Partant, quand deux ‘ârifs se réunissent et discutent au sujet de la ma‘rifa, chacun jouit d’un dévoilement spirituel qui lui est spécifique, provenant (par voie saisie immédiate) de la Présence divine Non manifestée (Hadaratul-ghayb) grâce à la baraka (influence spirituelle) de la rencontre de leurs lumières distinctives.

source : faydatidianiya.com