Cheikh Maky Ibrahima Niass a encore tenu en haleine les disciples qui se sont déplacés à l’occasion du troisiéme jour de « Mawloud » en chantant la prophétie du Prophète (psl) dans un poème composé par Baddi.
Ce qui fait le charme de cette ville. Le Mawloud, un aspect de l’oeuvre de Baddy que Baye chante de son vivant sur un ton qui berce et apaise les hommes et même la nature et Cheikh Maky Ibrahima Niass qui tient à l’orthodoxie, a sacrifié à la tradition en psalmodiant sans chromatique le « Tanihato rabihi » de la même manière comme son père.
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Source : faydatidianiya.com