Souffle du destin médinois, la télécommande du maître souverain, mon unique joker ( Par le poète de Fayda El Hadji Abdoulaye Fam )
Ô Mouhammad (saws),
Tu es Né à la Mecque en l’an
Cinq cent soixante-dix,
Devins orphelin à l’âge de six ans.
L’année, où Allah a sauvé le sanctuaire de la Kaaba,
De l’attaque du grand mécréant Abraha.
Tu fus alors pris en charge par Ton grand-père,
Puis par Ton oncle qui en était très fier.
Ô Maître, paradis de la retraite hospitalière
Tu es Mouhammad, le louangé
Ô Maître, le paradis de la paix
Tu es Ahmed, le plus glorieux
Ô Mouhammad (saws), Le paradis al Firdaws
Tu es Al Mahi par qui Allah efface l’infidélité
Ô Mouhammad, Paradis de la majesté
Tu es Al Hachir autour de qui les gens sont rassemblés
Ô Mouhammad (saws), le paradis de la félicité
Tu es Al Haqib, le dernier des prophètes
Ô Mouhammad, le paradis d’immortalité
Tu es Al Amine, le digne de confiance.
Ô Mouhammad (saws), paradis du séjour immuable
Mon esprit sort de mon corps
Et plane sur mes poèmes
Et m’amène là où personne ne dort,
Ne peut atteindre ou me faire du mal même.
Ô Mouhammad (saws), le grand gardien de grâce vocation,
Tu es la forme humaine orientée vers l’essence divine.
Ce que je suis se brise sous Ta formidable compression,
Je Te chante depuis l’Arabie jusqu’à Médine.
Je me suis mis à la marche et j’ai reconnu le chemin,
Apprenant à reconnaître les défis de chaque instinct.
Ô Mouhammad (saws) souffle du destin médinois,
Qui Te bénit, bénit implicitement le monde avec foi
Et l’esprit universel. Tu as fait de moi un soufi,
Qui ne veut ni être Dieu ni être autre que Dieu.
Je suis devenu à force de te chanter, aguerri.
Mon cœur s’est ouvert à toutes les formes sur terre et dans les cieux.
Ô Mouhammad (saws) mon rare étalon, mon unique joker,
Si l’on traite d’hérétiques ceux qui aiment Ta voie tant,
Que tous les hommes me soient témoins que je suis un dissident.
Maitre tout ce que Tu me destines de bien de ce monde, sers
Le, à tes ennemis et tout ce que tu me réserves dans le paradis,
Distribue-le, à tes amis, c’est toi que je veux car tu es mon érudit.
Ô Mouhammad (saws) la télécommande du maître souverain,
Tu es habité et Tu es celui qui exécute le dessein divin.
Quel est alors Maître, Ton secret,
Aide moi, souffle le moi je Te jure que
Tu n’auras pas de regret.
Car je veux tendre vers les choses mystiques.
Ô Mouhammad (saws), le remède des cœurs,
Source : faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam (Extrait de Mouhammad le soleil du levant)