A lire absolument ! » J’ai réduit le chemin qui mène à l’Unicité d’Allâh à quiconque veut parvenir à Dieu en Dieu, à la Vérité par la Vérité… » Dixit Cheikh Ibrahim Niasse

A lire absolument ! » J’ai réduit le chemin qui mène à l’Unicité d’Allâh à quiconque veut parvenir à Dieu en Dieu, à la Vérité par la Vérité… » Dixit Cheikh Ibrahim Niasse

A lire absolument ! » J’ai réduit le chemin qui mène à l’Unicité d’Allâh à quiconque veut parvenir à Dieu en Dieu, à la Vérité par la Vérité… » Dixit Cheikh Ibrahim Niasse

De plus, le cheikh a raccourci et aplani le chemin qui mène ses disciples à Allâh, aussi a-t-il écrit : « J’ai raccourci pour chacun de mes disciples dans l’Unicité d’Allâh, le chemin qui mène à l’amour immense que j’ai pour le Prophète de Dieu Ahmed. J’ai réduit le chemin qui mène à l’Unicité d’Allâh à quiconque veut parvenir à Dieu en Dieu, à la Vérité par la Vérité…

 

J’ai réduit l’ensemble des prières de toutes les créatures et j’ai raccourci pour chacun de mes disciples, dans l’Unicité d’Allâh, le chemin qui mène à l’amour immense que j’ai pour l’Envoyé de Dieu Ahmed, la moralité immanente…

J’ai synthétisé l’ensemble des connaissances des connaissants de Dieu et réduit le chemin qui y mène par le goût et par la sensation que j’ai eus de l’odeur du Prophète (sas) à qui appartient la sincérité…

J’ai facilité l’ensemble des poèmes laudateurs dans lesquels j’ai résumé et loué Celui qui est la forme du O (ha) du secret de l’ipséité de Dieu, de celui qui est l’Esprit du détenteur de la permission, de la substance et de la moralité immanente. »

Pour résumer, El-Hadj Ibrahîm rappelle : « Dieu m’a créé uniquement pour résoudre les problèmes parce qu’Il m’a confié le Secret des secrets. » En ce sens, il a recommandé à ses disciples de s’approprier les voies et moyens capables d’aider l’âme à se débarrasser de la «rouille qui ternit le miroir du cœur» et qui l’empêche de refléter la Vérité.

Chaque semaine Baye avait coutume de lire trois fois le Coran en entier ; de plus, les versets que, de mémoire, il psalmodiait le matin, il les récitait seul le soir et au cours des prières surérogatoires nocturnes. Et aucune maladie, si grave soit-elle, ne perturbait cette habitude.

source : faydatidianiya.com