Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Dilate nos poitrines et illumine nos âmes, Toi le but de ma naissance, Je crie, je gémis plaintivement à ta porte, Ouvre la moi et admets-moi pour que je te reflète (Par El Hadji Abdoulaye fam)

Dilate nos poitrines et illumine nos âmes, Toi le but de ma naissance, Je crie, je gémis plaintivement à ta porte, Ouvre la moi et admets-moi pour que je te reflète (Par El Hadji Abdoulaye fam)

Dilate nos poitrines et illumine nos âmes, Toi le but de ma naissance, Je crie, je gémis plaintivement à ta porte, Ouvre la moi et admets-moi pour que je te reflète

Dilate nos poitrines et illumine nos âmes, Toi le but de ma naissance, Je crie, je gémis plaintivement à ta porte, Ouvre la moi et admets-moi pour que je te reflète 

Ô Barham, oh Barham, oh Baye Barham,
Je t’implore, toi Maître l’imam suprême des imams,
Qui enflamme les âmes de la famille Fam.
Dilate nos poitrines et illumine nos âmes,
Toi l’imam Ahzam de tous les hommes, maitre de la Faydatidianiya
Qui a élevé à la cime des faveurs les femmes.

Ô Barham, la dernière manifestation venue.
Le trésor le plus sublime, l’âme de la sagesse,
Cet esprit subtil dans le domaine de la science,
Il s’en est allé sans être vraiment connu,
Cet arbitre de la bonne direction de la vertu.
Qui a répondu à Dieu à Londres et qui n’est plus revenu.

Ô Barham, la connaissance graduelle animée.
J’exprime des vœux sans l’utilisation de ma voix,
Tout en sachant que tu connais l’inexprimé.
Alors dilate Maitre, ma poitrine et illumine-moi,
Et déverse dans mon cœur, des océans de faveurs,
De l’entendement de la sainteté et du bonheur.

Ô Barham, le messager du levant,
Je crie, je gémis plaintivement à ta porte,
Ouvre la moi et admets-moi pour que je te reflète.
Au-delà de l’avarie du temps et à tout moment,
Sois en notre faveur dans toutes les situations.
Purifie-nous de toute mauvaise intention,

Ô Barham, la mémoire collective des sages.
Tète mon âme qui suit cette sacrée convoitise du lait,
Et donne-moi, la force pour acquérir avec courage,
Cette connaissance du Mahrifa, l’éclat le plus parfait,
Pour que je puisse tomber dans un plaisir indéfini tout bas.
Au paradis dans le pied de l’arbre Touba.

Ô Barham, le but de ma naissance, Faydatidianiya
Mes forces déclinent et révèlent ton éclat d’appât
Oh père oh père ! Les mots me manquent, papa.
Pour te montrer mon amour, ma reconnaissance,
Pendant trois mois, en scrutant les replis définis,
De mon cœur ce cœur maître qui est tout démuni.

Ô Barham, la niche des lumières qui éclaire
Écoute cet étendard vert qui a tant souffert
J’avais besoin d’examen pour avoir plus de confiance
De chaleur, pour que ce cœur soit dans l’aisance.
Et de là, j’ai su que le Mahrifa était la clef des sciences
Car tant de sainteté m’imprègne dans cette expérience.

Source: Faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam (Ma plume une lumière)