Plume d’un « Talibé » Ô Barham: La direction des 2 Qiblas, le secret du chiffre 3, le grenier de Dieu, le pôle des cieux, l’homme des mérites qui a rendu toute chose rose (Par El Hadji Abdoulaye Fam)

La direction des deux Qiblas, l’homme des mérites qui a rendu toute chose rose

La voix du peuple brisé, du peuple contrebalancé entre la tyrannie coloniale et les mystifications de politiciens professionnels en mal d’audience

Plume d’un « Talibé » Ô Barham: La direction des 2 Qiblas, le secret du chiffre 3, le grenier de Dieu, le pôle des cieux, l’homme des mérites qui a rendu toute chose rose

Ô Barham, la direction des deux Qiblas,
Ton apparition a renversé ces idoles-là.
Et grâce à toi Maître tous les secrets venus,
D’Allah furent brusquement connus.
Tu es le roi, et tous sont tes conviés, tes aimés
Tu es leur empereur et ils forment ton armée.

Ô Barham, l’illumination de la Mecque,
J’ai sucé heureux ta mamelle bénie,
Qui servait le pur savoir de la vie infinie,
Et je contemple l’idéal de ton regard sec,
Je déchiffre tes symboles, le bruit de ton silence
Qui m’a anéanti, de par sa conscience.

Ô Barham, l’astre lumineux inconnu De Dieu.
L’académicien de tous les platoniciens.
J’irai loin maitre comme un bohémien,
Dans ce chemin de l’éternel qui m’est venu,
Comme un petit enfant jouant dans tes genoux
Soif d’amour, de savoir ce divin bijou Faydatidianiya.

Ô Barham, O toi l’écrin d’Allah l’omnipotent
Comment maître vous dévoiler, comment ?
Si en te dévoilant, je donne le prétexte d’être taxé
De fanatique car tu es celui que Dieu a faxé
Sur terre, toi en qui se dresse tout ce qui rassure
Et qui cicatrise nos plus profondes blessures.

Ô Barham, le don le plus précieux,
La grandeur, le grenier de Dieu, le pôle des cieux.
Tu es le bateau qui fait que je voyage,
La mer, la force et le piroguier sage.
Tu es le producteur et le produit
Celui qui fait que ma mine luit

Ô Barham, montagne de la douceur,
Ta gloire en moi s’est installée avec honneur.
Oh Barham, noie donc mon âme aux flots de ton vin,
Fonde ma vie au pain de ton menu saint.
Je suis, je le sens plus pauvre que personne.
Mais ce que j’ai mon bien aimé, je te le donne.

Ô Barham, l’antivirus des virus,
Mon flanc perce mon cœur qui rayonne et saigne,
Et mes pensées, dans mes larmes se baignent.
Oh maître vraiment je n’ose dire ce que tu es, hélas !
Même si je sens qu’il faut t’aimer d’une brave franchise,
Comme le cœur du prêtre dans son église.

Ô Barham, l’honneur de la gloire suprême,
Me voici tout entier tout en larmes,
D’une joie extraordinaire, votre voix
Me fait comme du bien et du mal à la fois
Moi ce mortel, ce terrien qui suis tombé sous tes charmes
Qui t’aspire qui tremble, moi cette pauvre âme.

Ô Barham, le pilier des cinq piliers de la foi,
Tu es la cause, le secret du chiffre trois.
Tu es le chauffeur de la dialectique ascendante: le Mihradji
Le guide, le maître du soufi Al Mansour Al Halladj
Tu es le bien, tu es le mal, tu es le grand jour,
Le tambour de Dieu, tu es l’amour tu es An Nour.

Ô Barham, demeure du sanctuaire cordial,
La réalité essentielle la singularité primordiale,
Tu es l’adorateur par excellence Al Habd,
Tu es l’eau de vie, le secret de khahiqatu mohamed
À toi le Khalifat de Dieu, la forme du monde,
La synthèse de toutes les qualités cosmiques profondes.

Ô Barham, visage de lune surnaturel,
Le soleil sans déclin sur la sphère beauté,
Et sur le pur zodiaque de la dignité.
Tu es l’incomparable, l’irréfutable passeport essentiel,
Vers toutes les cultures existantes dans les continents,
Aux pétales purifiés, réunis comme, un contingent.

Ô Barham, âme de la métamorphose,
Toi l’homme des mérites qui a rendu toute chose rose,
Attestant que ton authenticité émane,
D’un pur piédestal, de ce noble espoir qui plane.
Tu notifies maître l’union, la dignité,
La conscience de soi, la voie, la joie, l’égalité.

Source: Faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam Ma plume une lumière