Plume d’un « Talibé » Ô Barham: l’Astre lumineux inconnu de tout l’univers, Toi le Zatou-Lahi sur terre, Tu es cette mer de savoir, l’imam de tous les croyants

 l’Astre lumineux inconnu de tout l’univers, Toi le Zatou-Lahi sur terre, Tu es cette mer de savoir, l’imam de tous les croyants

Celui qui n’a, point d’égal ni de similaire, Fait de moi, un homme de culture comme Mouhamad Zeïnabou ou Mettez-moi, sur les traces de Baye Amadou Thiam

 l’Astre lumineux inconnu de tout l’univers, Toi le Zatou-Lahi sur terre, Tu es cette mer de savoir, l’imam de tous les croyants

Ô Barham, l’Etoile inaccessible de l’étendard vert,
Tu es l’astre lumineux inconnu de tout l’univers.
Tu es l’ami intime et affectionnée de Dieu : Al Khalil.
O maître tes empreintes sont restées à Ain maadi,
Toi, le véhicule de la parole divine, al Hadi,
Le soleil de la religion à l’esprit subtil.

Ô Barham, l’adorateur par excellence,
Toi dont Dieu a purifié le corps, élevé l’esprit,
Et en fit le symbole de son acte créateur d’espérance.
Toi le prince de paix que je glorifie dans mon esprit.
Le bon berger, le sceau de la perfection,
Le parfait en beauté, le plein de sagesse et d’attention.

Ô Barham, l’Etoile du matin en éveil,
Mon cœur par ta vue est resté dans le deuil,
Et je préfère Maitre, être avec toi en enfer,
Que sans toi au paradis sans fers.
Qu’Allah te préserve o Abil Ishaq,
Toi le secret du secret, le Khaq bil Khaq.

Ô Barham, le coran qui marche,
Toi, dont le regard perçait les mystères,
Dont le cœur était rempli de sagesse chère.
Tu es cette mine de sincérité, cette divine flèche,
De pureté. L’infatigable athlète de notre voie,
Qui répand partout la semence de la foi.

Ô Barham, le Zatou Lahi sur terre,
Tu vaux plus que mon père, ma mère qui m’a sauvegardé.
Je ne veux rien de personne, ni de ces présidents gardés,
Ni des rois protégés, mais de toi qui n’as pas de frontière.
Tu es cette mer de savoir, l’imam de tous les croyants,
Le prince de la vie, le messager de l’alliance voyant.

Ô Barham, l’énergie non renouvelable,
Tu es le porteur de l’oriflamme de la voie,
Dans les pays du couchant, toi le Maître droit,
Toi Baye le fondamental, l’inégalable,
Toi Cheikh al Islam El Hadji Ibrahima Niasses,
La légende dorée, le zélé qui nous surpasse.

Source: Faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam (Ma plume une lumière)