Plume d’un « Talibé » Ô Barham : Soleil de la religion, le mérite du Dieu unique, le secret des deux mérites superposés, Béni nous toi, le plus béni parmi les bénis (Par Elhadji Abdoulaye FAM)

Le mérite du Dieu unique, le secret des deux mérites superposés, l’océan de la réalité divine

Ô Barhama ! Le grand saint aux yeux de Dieu: L’océan de lumière, l’inégalé, le confident, le proche, l’intègre, le pur le physique de Dieu ( Par El Hadji Abdoulaye Fam )

Plume d’un « Talibé » Ô Barham : Soleil de la religion, le mérite du Dieu unique, le secret des deux mérites superposés, Béni nous toi, le plus béni parmi les bénis

Ô Barham, le mérite du Dieu unique,
Maître de l’univers sensible pacifique.
De Taïba à Leona passant par Médine, le pas final
Ton succès islamique était international.
Oh toi soleil de la religion,
Toi la synthèse de toutes les missions.

Ô Barham, Kaaba des bienséances,
Et Arafat des difficultés et soucis denses.
Toi le cadenas de la porte des âmes
Celui qui me donne le feu du Mahrifa qui enflamme
À toi Haliloulahi qui a rayonné le monde
A toi Niasse qui me donne ces pensées profondes.

Ô Barham, l’explorateur des cœurs,
Tous mes moments ne sont qu’un éternel passage
De la crainte à l’espoir, de l’espoir à la rage,
Je désire maître le lait spirituel meilleur
Moi qui étais un bébé dans la foi
Où l’emblème lumineux du Mahrifa me fait la loi.

Ô Barham, l’océan de la réalité divine,
Et de la loi révélée dans la cité de Médine,
Toi la lumière enchantée l’éclat du juste,
L’inégalable et l’inépuisable trésor manifeste.
Béni nous toi, le plus béni parmi les bénis
Toi la réincarnation du Cheikh Tidjiania.

Ô Barham, l’aube qui s’évapore,
De mon sommeil d’amour qui dur encore,
Et encore jusqu’à quatre heures du matin,
Je veux tenir mon chapelet dans ma main,
Contemplant ton univers, la vérité puissante,
Aux plans dévoilés de ces déclarations présentes

Ô Barham, le secret des deux mérites superposés,
La niche de lumière le Kassatyl khass,
Qui s’est manifeste à la Mecque et a Fass,
Ne me châtie pas maitre, je ne te dévoile pas. J’ai osé
Car en te contemplant je me contemple,
Et en me contemplant, tu te contemples…

Source : faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam  (Ma plume une lumière)