Le modèle pour la jeunesse, l’Émir de tous les fidèles, Celui qui paye à celui qui n’a ni chéquier
Ô Barham, le réceptacle de mon intention
Dans le déroulement, Maître de ta mission
N’était-ce pas toi, qui as dit,
Que celui qui te voit ira au paradis,
Et que ceci n’est point un mensonge,
Mais une volonté de l’éternel reçu en songe.
Ô Barham, le modèle pour la jeunesse,
De vos pouvoirs, vos acquis que je révèle sans cesse,
Pardonne Maître à ces Mouhadam qui brouillent ta piste,
Qui sont venus tardivement et qui sont déjà manifestes,
De ces talibés qui sont dans les bras des irresponsables,
Qui se croient supérieurs, détenteurs véritables.
Ô Barham, le maitre de notre maitre,
Au cœur viril dans l’explication des mystères.
À toi le papillon brûlant ses ailes,
À la lampe de l’amour éternel,
Dont l’esprit était rempli de vérité substantielle,
Lui-même qui est allé au-delà du superficiel.
Ô Barham, la divine bombe,
La gerbe de lumière qui éclaire notre tombe.
Je me méfie d’esquisser votre portrait,
En m’appuyant sur ce que disent les historiens
Toi qui nous as abreuvé du lait le plus parfait.
À toi l’inimaginable qui n’est assimilable à rien.
Ô Barham, l’émir de tous les fidèles,
Saint à la parole magnifique et éloquente ;
À toi l’idée de Dieu la plus pertinente,
L’aîné des patriarches au puissant label,
L’antidote du poison de la perdition,
Toi qui nous pousses à servir notre nation.
Ô Barham, le bonheur visible et infini,
Tu es le plus sûr et le plus magnifique banquier,
Celui qui paye à celui qui n’a ni chéquier,
Ni compte, sinon son cœur démuni.
Oh Barham nous t’espérons, te rêvons,
Te choisissons, t’admirons, te voulons.
Source : faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam
Ma plume pour la fayda