Plume d’un « Talibé » Ô Barham : Le remède des maux, la saveur de la vie, l’âme de toutes les âmes et l’éclair qui déchire la nuit

Le remède des maux, la saveur de la vie, l’âme de toutes les âmes et l’éclair qui déchire la nuit

Cette lettre parle de l’interdiction du dévoilement des secrets

Le remède des maux, la saveur de la vie, l’âme de toutes les âmes et l’éclair qui déchire la nuit

Ô Barham, le sauveur de ceux qui sont noyés dans ce monde
Si le destin choisit parmi les hommes de bien et les experts,
Pour les emporter, n’est-ce pas qu’il désire la fin de ce monde ?
Toutefois chanter tes éloges constitue une triomphe et une victoire.
Je t’ai chanté toi dont, cette créature n’aurait pas pu dire la louange
Si la louange ne lui était pas venue tout d’abord d’Allah et des anges.

Ô Barham, le remède des maux,
Mon âme dans les délices tomba en extase ferme,
Comme ma langue ne pouvait s’exprimer en mots,
J’ai constamment vécu hors de moi-même.
Tu es mon compagnon intime jour et nuit,
La lumière, l’aurore mon ombre qui me suit.

Ô Barham, la beauté béatifique,
Le passé et le futur auraient fait de toi le présent.
Et si je faisais ta description fidèle à ton rang,
Pendant une vie entière je ne le pourrai c’est mystique,
Tous mes vers sont de la folie comme ceux de Hattar,
Car la raison n’a rien à faire avec ce discours rare.

Ô Barham, la saveur de la vie,
J’ai mesuré le temps tout le long de ma vie,
Et je fus dégoûté de tout royaume impur,
Marchant au-delà des horizons de l’existence,
Donnant du cœur à la foi et l’extase à l’âme pure,
Tournant et retournant Maître dans tous les sens.

Ô Barham, l’illustre et l’inconnu,
Le fils du lion, le karamat, qui nous est venu.
Tu étais le président du congrès mondial islamique,
Qui a étonné le monde avec des propos extatiques,
Toi Cheikh Ibrahim Niasses l’homme multidimensionnel,
Qui m’a donné vie et un destin exceptionnel.

Ô Barham, l’âme de toutes les âmes,
Je n’ai pas d’énergie plus qu’un atome,
Moi cette goutte d’eau pétrie avec de la terre,
Qui sait que tu as participé à la vie des hommes,
Il me fallait cent mille yeux pour verser dans la mer.
Mes larmes de sang que je contenais qui m’enferment.

Ô Barham, l’incendie de Dieu, le paon,
Mon amour est au-dessus de la foi,
C’est pourquoi j’ose défier les magiciens de pharaon.
Tes mérites sont en dehors de tout éloge,
J’étais là, ivre sans raison sans voix,
Espérant devenir un vrai poète un mage.

Ô Barham, l’éclair qui déchire la nuit
De ton sourire qui répandait du sucre blanc
Cent roses s’épanouissaient sans attendre le printemps.
Tes lèvres étaient la source de fontaine de la vie qui me suit,
Qui me donne la richesse de mon cœur qui augmente ma vie,
Moi cette faible ombre anéantie, tout démuni.

Source : faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam Ma plume une lumière