Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Le secours excellent, Je suis né soumis à toi, Ne refuse pas la confession de ce pauvre disciple, Toi qui as fait que je ne sois pas maudit, Si un grain de sable pouvait dire merci alors je t’offrirai le Sahara (Par El Hadji Abdoulaye Fam)

Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Le secours excellent, Je suis né soumis à toi, Ne refuse pas la confession de ce pauvre disciple, Si un grain de sable pouvait dire merci alors je t'offrirai le Sahara

Ô Baye, Babou Lahi, le père de l’humanité, le gardien de l’éternité, la puissance du message divin

Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Le secours excellent, Je suis né soumis à toi, Ne refuse pas la confession de ce pauvre disciple, Toi qui as fait que je ne sois pas maudit, Si un grain de sable pouvait dire merci alors je t’offrirai le Sahara

Ô Barham, l’allégresse qui a illuminé l’horizon
Je veux errer dans ton palais sans escorte,
Moi qui te reconnais et qui connais seul ta porte.
Je veux percer le secret de mon amour dans ta maison ;

Je veux hurler dans les rues, je veux devenir fou.
Je suis perdu, je suis saoul, je suis impur et sans sou.
Ô Barham, le secours excellent
J’ai veillé cherchant pourquoi je t’ai aimé

Mais Maitre, je suis dans ton âme qui m’a enflammé
Hélas je dépens bien de toi même si je suis lent
Je suis né soumis à toi et j’ai perdu ma flamme
Je vis dans l’océan de cette vérité, ta vérité suprême.

Ô Barham, le soleil de la guidée du peuple,
Ne refuse pas la confession de ce pauvre disciple,
Qui souffre vraiment et qui a perdu sa sagesse.
Qui était en deuil qui pleure, qui a peur et qui se confesse.

J’ai oublié tous mes devoirs humains te suivant dans ta mission
Toi Maitre des premières et des dernières générations.
Ô Barham, le rassembleur des connaissances,
J’ai avalé une fameuse gorgée du poison de la vie,

Mais béni soit le conseil qui m’arrive et me vivifie
Qui tord mes membres, me rend difforme sans indulgence,
Un suave concert spirituel, la force et la paix.
Les nobles ambitions qui me sortent du monde imparfait.

Ô Barham, âme détentrice de l’argument vrai.
Si un grain de sable pouvait dire merci,
Je t’offrirais le Sahara jusqu’ici,
Toi Maître le grand voilier qui est tout près,

Toi qui as fait que je ne sois pas maudit comme Du Bellay,
Car tu m’as inspiré toi la muse des muses, Cheikh Baye.
Ô Barham, l’avertisseur du peuple.
Tu es venu de la non existence à l’existence,

Et ta lumière a percé les voiles dans tous les sens.
Et l’intimité de mon être que je contemple,
Et j’ai grandi dans mon esprit dans mes écrits,
Ni vu ni connu dans le vent tel Paul Valery.

Source: Faydatidianiya.com – El Hadji Abdoulaye fam (Ma plume une lumière)