Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Toi qui es au-delà de l’au-delà et au-delà de tout, L’esprit éminent dans tous les esprits, Mon cœur comme un lustre est garni de lampe faydatique (Par Elhadji Abdoulaye Fam)

Toi qui es au-delà de l’au-delà et au-delà de tout, L’esprit éminent dans tous les esprits, Mon cœur comme un lustre est garni de lampe faydatique

Porteur du drapeau des honneurs, crème des hommes majestueux et La somme des deux mers des sagesses et des connaissances

Toi qui es au-delà de l’au-delà et au-delà de tout, L’esprit éminent dans tous les esprits, Mon cœur comme un lustre est garni de lampe faydatique

Ô Barham, l’habile médecin dans la voie de l’amour,
Tu es un esprit délié et éminent de tous les jours.
Tu m’es dévoilé de ta face si noble,
Que je magnifie au-delà du dictionnaire indispensable,
Car tu es derrière le nom apparent en sa forme,
Toi qui transportes dans les pérennités de l’amour extrême.

Ô Barham, la bonté bénéfique de partout,
Qui n’a pas de nom, ni de forme réunie,
De vis-à-vis, d’opposition de jonction définie.
Toi qui es au-delà de l’au-delà et au-delà de tout,
Qui n’as ni intérieur, ni extérieur, ni sens, ni âge,
Ni ouverture ni union, je découvre milles étages.

Ô Barham, Bahroul Bouhouri,
L’esprit éminent dans tous les esprits,
Tu es la mine de sincérité et de pureté,
Un khan qui enlève pour les cœurs la dureté,
Qui a marché d’un cœur pur et sincère,
Dans la voie spirituelle amère.

Ô Barham, compagnon assidu de la parole,
L’ami de tous les hommes fidèles.
Dans le chemin de l’éternel dont tu es le sel.
Émiette dans ma nuit profonde cette clarté immortelle,
Moi cet aveugle, ce sourd muet ton serviteur,
Pour porter le zam-zam par ton nom qui fait honneur.

Ô Barham, le serveur de la coupe kawssaratique,
Tu es la pépite divine aux parois d’or et de rubis,
Qui a participé à tous les apports subis.
Mon cœur comme un lustre est garni de lampe faydatique,
À la clarté pure desquelles tout se termine.
Et je sens que je ne suis ni fou, ni possédé par un djinn.

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM MA PLUME UNE LUMIÈRE