Saviez-vous que Seydina Cheikh (rta) est né le 18 safar, en l’an 1150 (lundi 17 juin 1737) : Comment était la coloration de ses cheveux et de ses yeux

Cheikh Macky brahima Niasse présente ses condoléances à Tivaouane
A CHEIKH MOUHAMMADOUL MACKY IBRAHIMA NIASS: Tu es l'iceberg que seul le soleil de cheikh Ibrahim peut faire fondre, Toi qui inspires à la fois respect, sagesse et fermeté, Tu caches plus que Tu montres, Toi le fils recommandé a Baye depuis le périmètre sacré...( Par le poète de la Fayda, El Hadji Abdoulaye Fam)

Cheikh Macky brahima Niasse présente ses condoléances à Tivaouane

 

La coloration des cheveux du cheikh Sidi Ahmed Tijani, qu’Allah soit satisfait de lui (باب في خضابه رضي الله عنه)

De temps à autre, le cheikh Sidi Ahmed Tijani colora ses cheveux blancs par le henné en imitant son ancêtre le prophète Sidna Mohamed, que le salut d’Allah soit sur lui. En effet, l’application de la « Sounna » et des recommandations prophétiques est d’une grande importance chez tous les musulmans en général et chez les Tijanis en particulier. Jusqu’à présent, certains cheveux conservés du cheikh restent encore colorés, ce qui témoigne de la confirmation de la coloration de ses cheveux.

 

 

Le noircissement des yeux du cheikh Sidi Ahmed Tijani, qu’Allah soit satisfait de lui (باب في كحله واكتحاله)

Le cheikh Sidi Ahmed Tijani était un bon conservateur de la sounna mohammadienne et incitait ses disciples et compagnons à l’appliquer dans le cadre du possible. Toutefois, toute exagération est prohibée. En effet, le noircissement des yeux, pratiqué par le prophète, probablement pour une raison de santé, n’a plus été considéré comme acte de la Sounna mohammadienne. Il a plutôt été considéré à l’époque du cheikh comme étant un signe d’extrémisme. C’est ainsi que les compagnons du cheikh Sidi Ahmed Tijani, qu’Allah soit satisfait de lui, tout en restant attachés à la sounna, omettaient d’appliquer certains actes « mal interprétés », tel que le noircissement des yeux, afin d’éviter les mauvaises langues. L’érudit « Zarrouk », à son tour, a conseillé d’omettre trois actes prophétiques à son époque, tout en restant attaché à la sounna : « le déplacement par âne, l’excès d’approvisionnement en nourriture et la portée de la bague dans le doigt ». Dans la présente publication, l’auteur n’a pas pour objectif d’éclaircir les aspects de confirmation ou d’infirmation de la sounna, mais vise plutôt à décrire les habitudes du cheikh et ses qualificatifs.

Source : faydatidianiya.com