Il est présentement difficile d’émettre ou de recevoir un appel ou même faire un direct normal à Taïba Niasséne ville natale du détenteur de la Faydatidianiya en cette période de Gamou. Le réseau Orange pose d’énormes difficultés aux milliers de pèlerins venus de tous les recoins du monde.
Trois semaines après son départ de KAOLACK, Cheikh Ibrahima NIASS s’éteignit le Samedi 26 Juillet 1975.(16 RAJAB 1395) à LONDRES.
Comment la nouvelle de la disparition de cet illustre homme, est-elle parvenue aux Sénégalais ?
D’abord dans la nuit du Samedi 26 au Dimanche 27 Juillet, une forte pluie s’abattit sur l’étendue de la région du Sine Saloum. Alors que l’on épiloguait sur l’intensité de la pluie, une vieille dame, Fatou NIASS (surnommée Mame Lawa) ne cessait de s’exclamer : « Pourtant la pluie est rythmée par des chants religieux (zikrs) ». D’autres disaient avoir rêvé « une perte de dents de la mâchoire supérieure », « un transfert de la Kaaba à l’est de la grande mosquée », « des chars de combat venir attaquer Médina »…
L’histoire de Cheikh Ibrahima NIASS commença dans l’après-midi du Jeudi 8 Novembre 1900 à l’ombre d’un baobab qui surplombait la case de sa maman dans la concession d’El hadji Abdoulaye NIASS au village de Taïba Niassène. Baye NIASS ! Nul personnage plus que lui n’éveille tant les passions des uns par excès de zèle, ou des autres par incompréhension, méconnaissance, jalousie, dénigrement, hypocrisie voire même méchanceté.
Écrivain, poète, chercheur, historien émérite de la Faydatidianiya de Mawlana Cheikh Ibrahim Niass (RTA), Cheikh Ahmed Boucar Oumar Niang, comme à son habitude, va sortir très prochainement son nouvel ouvrage intitulé : «Lumière du Réel dans l’éloge de l’apôtre de la Véracité».
Baye Niass, de son vrai nom Ibrahima Niass est un soufi, gnostique et mystique musulman sénégalais.
1– Il a écrit son premier ouvrage à l’âge de 21 ans :
Témoigne de ses connaissances ésotériques d’acquisition précoce, son premier ouvrage Rûh al adab écrit à l’âge de 21 ans ainsi que son fameux Kashifou al Ilbas (1930) (Traité fondamental de Soufisme et de la Voie Tijaniya).
La disparition de Serigne Daara Ousmane Ndiaye le 23 mars 2018 à Madina Baye Kaolack a inspiré le jour-même ce » Taalif-Portrait » à son fils Mohamed Tidiane Ndiaye.
Le jugement sur la chemise provenais en realité d’un homme hautement respecté par son statut et son intelligence , qui etais le fils de l’oncle à zuleikha , la femme à Putiphar..il (Putiphar)finis par dire « certes vos(les femmes) ruses sont certes énormes »..L’information de cette incident fu rapporter en ville et les femmes se moquèrent de le femme de Putiphar et dirent « la femme du puissant « al ‘aziz » n’a pas rougis d’aimer son propre esclave et l’amour est rentrée dans son coeur pour un esclave » cette information parvint à la femme de Puthiphar et elle choisit de les invités à un repas dans sa maison .
‘’ Lumière du Réel dans l’éloge de l’apôtre de la Véracité ‘’
Écrivain, poète, chercheur, historien émérite de la Faydatidianiya de Mawlana Cheikh Ibrahim Niass (RTA), Cheikh Ahmed Boucar Oumar Niang, comme à son habitude, va sortir très prochainement son nouvel ouvrage intitulé : «Lumière du Réel dans l’éloge de l’apôtre de la Véracité».
Al Imamoul Akbar nous rappelle les origines de la célébration de la naissance de l’imam de la FaydatidianiyaImam Cheikh Tidiane Aliou Cissé nous livre l’importance de la Gamou de Taïba Niasséne qui est un événement phare dans le calendrier des gens appartenant à la communauté de la Faydatidianiya.
Mawlana Sidi Barham Niass (ra) nous conseille et ses paroles sont d’actualité : »Sache que seules les bonnes actions servent l’être humain et seul son mauvais comportement lui rend un mauvais service. A tout moment, L’homme doit se repentir. Il doit accomplir des efforts pour poser de bons actes à chaque instant de sa vie.Le juge doit être juste entre les personnes.
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