Serigne Moussa Ka, fils de Serigne Ousmane et de Sokhna Absatou Seck est né Ndilki près de Mbacké Baol vers 1890. Il avait des liens de parenté très étroite avec son guide et maître Khadimou Rassoul, car il est lui aussi descendant de Mame Maharam Mbacké, ascendant de la famille des Mbacké.
La journée s’est déroulée au rythme des sourires grâce à la collaboration exceptionnelle de plusieurs acteurs sans qui cet événement n’aurait pu voir le jour.
S’il y a bien une accusation, une question qui ne manque jamais de tomber c’est bien la question de la femme musulmane.
Dans leur critique, il y a une partie de vérité et une autre, propre aux stéréotypes occidentaux sur la condition féminine en Islam. Nos filles, nos femmes, nos soeurs, constitue en gros la moitié de la Oummah. Dieu, dans sa Sagesse, n’a pas attendu que des européennes dessinent pour elles les plans de leur libération!
Kaolack Léona Niasséne : Les Images de la Ziarra du Samedi 02 Mars 2019 dédiée à Mame Astou Diankha
Cette 14e édition de la ziarra annuelle dédiée à Mame Astou Diankha, mère de Cheikh al Islam El Hadj Ibrahima Niass, se déroulera samedi à Léona Niassène (Keur Baye Niass), à Kaolack , a-t-on appris des organisateurs.
Faydatidianiya, Mame Astou était la fille d’Ibrahima Dianka et de Bineta Aly Thiam. Ses parents vivaient dans le Jolof, mais sont originaires de Guidimakha. C’est dans le Jolof que Mame Abdoulaye Niass a rencontré Mame Asta. A l’époque, Mame Astou était en proie à une maladie incurable. Elle lui rongeait le pied. Elle est partie se soigner partout, sans jamais guérir. C’est ainsi qu’elle tombe sur Mame Alhadji qui sera le Bon guérisseur. Mais quelques temps après, la maladie réapparait, la dame retourna chez Mame Alhadji qui la soigne définitivement avant de demander sa main à ses parents.
Fils de El Hadj Abdoulaye Niass et de Astou Diankha, Mahmoud Abdoulaye Niass a vu le jour en 1893 à Niassène Walo à quelques encablures de Taïba Niassène. Il est l’ainé de 7 ans de Baye Niass. Ce dernier accordait une grande considération et un grand respect à son grand petit frère, BAYE. Mahmoud a très tôt reconnu et accepté la grande sainteté sous-tendue par une connaissance exceptionnelle du soufisme accordée par Allah le Tout puissant à son jeune frère. Ainsi, il avait accompagné Baye dans son exil de Kaolack à Médina.
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