A SAYDA OUMOU HANI IBRAHIMA NIASS: Par Ta naissance Tu as honoré le monde, Toi, la sublimité dans la haute spiritualité, la fille aînée de ya Balkhis. Tu es l’exceptionnelle être à la majesté divine en qui l’ardeur de l’islam fleurit…Dieu a déterminé Ta grandeur en Te choisissant un père…(Par le poète de la Fayda El Hadji Abdoulaye Fam)

Seyda Oumouhani bint Cheikh Ibrahima NIASS

A SAYDA OUMOU HANI IBRAHIMA NIASS: Par Ta naissance Tu as honoré le monde, Toi, la sublimité dans la haute spiritualité, la fille aînée de Ya Balkhis. Tu es l’exceptionnelle être à la majesté divine en qui l’ardeur de l’islam fleurit…Dieu a déterminé Ta grandeur en Te choisissant un père…

À partir de l’instant où Tu vins dans l’univers « Naçote » de la destinée
Une échelle fut placée devant Toi pour Te permettre encore de T’élever
J’ai vainement tenté de saisir le pan de Ta robe éblouissante de Mahama
Et me voici écroulé pleurant les mains inutilement tendues vers Allah

Car Ta demeure est le ciel, Toi qui a débarqué avec la lumière salvatrice
Dans ses rayons magnifiques, ne reflétant que la pure pureté achevée
Toi, l’incarnation de la vérité, Toi la sublimité dans la haute spiritualité
Par Ta naissance Tu as honoré le monde, Toi, céleste rayon après l’averse

Je tâtonne tel un aveugle dans le noir et mon bâton résonne sur Tes dalles
Pour sonder Ta gloire, Toi, la douceur de la grâce céleste, la fleur nouvelle
J’ai n’ai peut-être pas les mots qu’il faut pour T’exprimer mes sentiments
Mais j’ai l’attachement qu’il faut que je T’apporte sur les ailes du vent

Tu as été formé par Ould Rabbani et Ahmed Mahmoud Rabbani à la cité de Médine
Au Daara béni de ce Maure ou Tu as reçu des valeurs avec lesquelles Tu chemines
O disciple de SerigneAliou Cissé, Toi, l’angélique beauté façonnée par son père
Toi, la fille ainée de Ya Balkhis, Toi, la grande émanation parfumée de mystères

Toi, la sœur de Sayda Hafssa, Sayda Ramatoulaye, Sayda Fatimatou, ces princesses
Toi, qui es née en Angleterre, lieu, ou Cheikh Ibrahima Niass Ton père a rendu l’âme
Et tu avais en ces temps obscurs treize ans, Toi, la voix berçante en délicatesse
Tu es une pure lionne qui peut être paisible comme la mer en sérénité suprême

A l’âge de deux ans Tu foulas la cité de Médine pour respirer le vent du firmament
Côtoyer Ton sang puis Tu retournas en Angleterre pour revenir à l’âge de six ans
Toi, qu’on magnifie avec affection et admiration partout à travers le grand cosmos
Digne être de lumière à la pureté parfaite, Toi Sayda Oumou Hani Ibrahima Niass

Toi, conductrice lumineuse qui a transformé des perceptions dans la joie
Une femme spirituellement ravie qui continue à parcourir le droit chemin
Toi qui m’a donné la liberté de me retrouver dans mon impératif divin
Ma plume vient tel un magnifique papillon se poser finement sur Toi

Tu es une majestueuse missionnaire femme qui est très en avance sur son temps
Toi, la fille adorée de Ya Balkhis qui a reçu le wird des mains de Serigne Aliou Cissé
Entends mon cri qui recèle la nuit je T’en supplie depuis Nigeria que Tu as ratissé
Dieu a déterminé Ta grandeur en Te choisissant un père, ce maitre des temps…

Je sais que les graines que Tu as semées mûrissent sous la clarté du savoir aimer
Et que la récolte est fructueuse lorsque l’esprit a trouvé place dans ce jardin du bien
Toi, l’exceptionnel être à la majesté divine, en qui l’ardeur de l’Islam fleurit
Une des messagères d’une famille entière, affectée au Nigeria le pays bénit.

Sur la bande de la magnéto, dorénavant se poseront ses mots, mes mots remplis
De réalité du monde d’en haut pour Te fredonner, un poème Ya Sayda Oumouhani
Derrière le voile, Ta présence lumineuse a trouvé ce qu’elle a toujours cherché,
Toi, qui a une longueur d’avance sur les autres et voilà pourquoi je T’ai admiré

Quoique Tu fasses en parole ou en œuvre, Tu le fais au nom de Ton père
Toi, qui a fait briller la lumière de la parole de Barhama dans les cœurs
Réalisatrice des vœux divins, je nourris pour Toi maman un amour intime
Toi Sayda Oumouhani, la lumière intelligente, la vraie fille de Cheikh Ibrahim

Sache que Ton disciple Baïdy Sow T’es dévoué et il T’aime d’un amour sincère
Toi, qui s’est entouré d’une influence d’origine divine qui imprègne l’être
Tu as assidûment grandi en grâce poussée par des desseins supérieurs
Saints et puissants car venant de celui qui a donné son destin au prophète.

J’ai ouvert les yeux pour Te regarder et vanter Tes riches actions parfaites
Toi, qui a donné la chance aux nigérians sans pour autant occulter leur morale
Je viens vers Toi avec mon arme fatale ; ce sont mes cantiques en proses
Que de nuit et de jour, puisant dans l’océan divin de Baye, je les compose

Je cueille des roses du Mahrifa, je sème des rimes et je gravis des cimes
Pout T’honorer, pour Te plaire et je n’ai de repos, alors accepte mes rimes
Et prie pour moi pour devenir le poète de la Fayda car ça m’est intime…

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM (MA PLUME, UNE LUMIERE)