Plume d’un « Talibé » Ô Barham: L’illustre et l’inconnu, l’âme de toutes les âmes, l’éclair qui déchire la nuit et Mon amour est au-dessus de la foi (Par Elhadji Abdoulaye Fam)

Ô Baye, Babou Lahi, le père de l’humanité, le gardien de l’éternité, la puissance du message divin

 L’illustre et l’inconnu, l’âme de toutes les âmes, l’éclair qui déchire la nuit et Mon amour est au-dessus de la foi (Par Elhadji Abdoulaye Fam)

Ô Barham, la beauté béatifique,
Le passé et le futur auraient fait de toi le présent.
Et si je faisais ta description fidèle à ton rang,
Pendant une vie entière je ne le pourrai c’est mystique,
Tous mes vers sont de la folie comme ceux de Hattar,
Car la raison n’a rien à faire avec ce discours rare.

Ô Barham, la saveur de la vie,
J’ai mesuré le temps tout le long de ma vie,
Et je fus dégoûté de tout royaume impur,
Marchant au-delà des horizons de l’existence,
Donnant du cœur à la foi et l’extase à l’âme pure,
Tournant et retournant Maître dans tous les sens.

Ô Barham, l’illustre et l’inconnu,
Le fils du lion, le karamat, qui nous est venu.
Tu étais le président du congrès mondial islamique,
Qui a étonné le monde avec des propos extatiques,
Toi Cheikh Ibrahim Niasses l’homme multidimensionnel,
Qui m’a donné vie et un destin exceptionnel.

Ô Barham, l’âme de toutes les âmes,
Je n’ai pas d’énergie plus qu’un atome,
Moi cette goutte d’eau pétrie avec de la terre,
Qui sait que tu as participé à la vie des hommes,
Il me fallait cent mille yeux pour verser dans la mer.
Mes larmes de sang que je contenais qui m’enferment.

Ô Barham, l’incendie de Dieu, le paon,
Mon amour est au-dessus de la foi,
C’est pourquoi j’ose défier les magiciens de pharaon.
Tes mérites sont en dehors de tout éloge,
J’étais là, ivre sans raison sans voix,
Espérant devenir un vrai poète un mage.

Ô Barham, l’éclair qui déchire la nuit
De ton sourire qui répandait du sucre blanc
Cent roses s’épanouissaient sans attendre le printemps.
Tes lèvres étaient la source de fontaine de la vie qui me suit,
Qui me donne la richesse de mon cœur qui augmente ma vie,
Moi cette faible ombre anéantie, tout démuni.

Source: Faydatidianiya.com – Elhadji Abdoulaye Fam