Plume d’un « Talibé » Ô Barham: Maitre de l’existence suprême, le pédagogue achevé, Toi, le guide des cœurs enflammés de charmes, Je ne cesserai de t’exalter moi ton soldat, (Par Elhadji Abdoulaye Fam)

Maitre de l’existence suprême, le pédagogue achevé, Toi, le guide des cœurs enflammés de charmes, Je ne cesserai de t’exalter moi ton soldat, (Par Elhadji Abdoulaye Fam)

Ô Barham, le maitre de l’existence suprême,

Maitre de l’existence suprême, le pédagogue achevé, Toi, le guide des cœurs enflammés de charmes, Je ne cesserai de t’exalter moi ton soldat, (Par Elhadji Abdoulaye Fam)

Ô Barham, le maitre de l’existence suprême,
Accorde à ce pauvre nécessiteux, ce faible serviteur,
Toi, le guide des cœurs enflammés de charmes,
Ce qu’on peut tenir comme essence de cette vallée meilleure,
Pour qu’il ne me reste ni raison ni vie,
Dans un cœur plein d’amour qui te vivifie.

Ô Barham, la synthèse de l’immense héritage,
Tu es l’argument vivant de tes contemporains sages,
Qui avait assemblé tous les arcanes dorés,
Toi Maître le jardin de la vérité perforée.
Tu es l’explorateur expérimenté des voies sublimes,
Dont les yeux n’étaient jamais vides de larmes.

Ô Barham, le pédagogue achevé,
Tu es le savant, le vertueux aux pensées profondes,
Toi ce désabusé des jouissances de ce monde,
Qui semblant rester sur terre parachevé,
Se transportait dans les espaces mystérieux,
Toi Barham le secret qui fait voir les yeux.

Ô Barham, la porte de la connaissance,
Tu es le pôle caché aux regards perçant la charia,
Qui ne subsiste plus que par son appartenance,
À Dieu. Dans l’acte de ma naissance éternelle,
Toutes choses ont été engendrées avec toi Barhama,
Et tu es devenu la cause de moi-même visuelle.

Ô Barham, le serviteur quotidien de l’islam,
Tu es la fleur multicolore de Dieu,
Le flambeau de Kaolack et des cieux,
Tu es le complément de la Mouhamadiya suprême,
Arrosant l’arbre de la connaissance divine,
Toi qui fais la grandeur même de la cité Médine.

Ô Barham, ce pôle des cieux,
Ce Rouhoul Woudjod qui brûle de feux,
Qui m’a appris ce que j’ai été dans l’éternité.
Et comme pour paraphraser Ibn Arabi,
Ce pôle qui a tant fait pour glorifier Al Nabi,
Si je n’étais pas, Dieu ne se serait pas manifesté.

Ô Barham, cette gloire de la science juridique,
À cause de toi, je suis entré dans la chaîne du plan Ahadiya,
Dans la voie Mouhamadiya Rabbaniyya.
Toi Maître qui étais singulier en son époque,
Je ne cesserai de t’exalter-moi ton soldat,
Toi la fleur jadis éclose que le jardin d’Afrique dérobât.

Source: Faydatidianiya.com – EL HADJI ABDOULAYE FAM MA PLUME UNE LUMIÈRE