Le 24 janvier 1959, l’Assemblée législative du Sénégal adopta la Constitution de la Fédération du Mali et celle du Sénégal. Quelques jours plus tard, El-Hâdj Ibrahima NIASS télégraphia au général de GAULLE pour protester contre le fait que les Constitutions n’avaient pas été soumises au référendum. » De Benoît. Joseph R., l’AOF, NEA, 1994, p 447.
La bataille de Badr avec le Chiffre 313: Jour où Les Anges viennent soutenir les Musulmans Quel est le contexte de la bataille de Badr ? Au mois de Ramadan de l’an 2 de l’Hégire, […]
Serigne Ousmane NDIAYE naquit vers 1906 au village de NDIAYENE KADD.(11 km de Passy, dans le Département de FOUNDIOUGNE).
Ousmane NDIAYE commença son cursus éducatif dans l’école coranique de son père. D’une intelligence remarquable et d’un goût prononcé pour les études, ce jeune prodige, maitrisa très tôt le Saint Coran. Il le récita à plusieurs reprises et de belle manière, sous l’autorité de son père .Rares sont les enfants qui ont réussi cet exercice à cet âge (environ 10 ans) : on parle même de miracle.
Cheikh Bachir Niass est neveu et disciple de Cheikh Al Islam, Cheikh Ibrahima Niass. Erudit maîtrisant parfaitement l’histoire du Prophète Mohamed et de Baye Niass, il retrace pour L’Obs la vie du saint fondateur de […]
A CHEIKH MUHAMMAD BACHIR NIASSE Étoile du Savoir, Flamme de la Faydatidianiya ( Par le poète de la Fayda) Innâ lillahi wa innâ ilayhi râji’ûn (إنّا لله و إنّا إليه راجعون). Cheikh Mouhamadoul Bachir Ibn […]
A lire absolument ! Sermon de Baye Niass sur le jeûne du Ramadan Sermon du jeûne de Ramadan Au nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux. Louage à Allah qui a fait du jeûne (Ramadan) un […]
Bon à Savoir : » L’évocation de cent Salat Fatihi le soir du vendredi lorsque les gens dorment est une expiation de quatre cents années. » » Nous révèle Seïdina Ahmed Tidjani (rta) Seïdina Ahmed […]
C’est-à-dire accéder à Son agrément – par l’Amour de Lui. La première phase est donc celle du rejet de la conscience habituelle, celle des cinq sens, par la recherche d’un état d’´´ivresse´´ spirituelle, parfois assimilé à tort à une sorte d’extase ; les soufis eux-mêmes parlent plutôt d’«extinction» (al-fana’), c’est-à-dire l’annihilation de l’ego pour parvenir à la conscience de la présence de l’action de Dieu.
Gloire à Dieu, maître des mondes, salut et paix sur le plus noble des messagers, sur sa famille et ses compagnons doués d’immenses caractères à la mesure de sa valeur et d’une grande mesure sur les suivants et leurs suivants de belle manière jusqu’au jour de la rétribution.Une salutation qu’aucune autre n’égale exprimée dans un style unique incomparable à mes fils spirituels de Lagos, Kaduna, Kano, Jôs et de toutes les contrées de nos amis et compagnons, qui nous sont affiliés, se réfugiant en nous, au Nigeria à kanu et à Kumasi.
Le Cheikh Al Islam étudiait le coran sous la direction de son père et le mémorisa entièrement selon la version «warch» alors qu’il était dans sa tendre enfance, ce qui lui valut le titre de «Hâfiz». Il rechercha le savoir, dont il maîtrisait différentes branches, auprès de son père, alors que la lumière de la beauté divine brillait sur lui et que le secret de la guidée du Prophète (SAW) était enfoui en lui.
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